C’était la nébuleuse d’Orion,
Qui pondait ses œufs en boutons.
La voie lactée clignait de l’œil,
En préparant son grand cercueil.
Le lait se boit tard dans la nuit,
S’écriait-elle au bout du pis.
Regarde l’espace comme il est grand,
Ta vie est là, fais donc son chant.
Les ailes déployées d’Uranus,
Sur le système solaire rébus,
Transportent les vœux les plus purs,
Jusqu’à la porte de ton mur.
C’est la plus grosse des planètes,
Pluton qui n’est plus aussi bête,
Fait table rase de toutes les miettes,
Sur le plancher de l’obsolète.
Rien n’est jamais si vertical,
Que les rêves que l’on se trimballe.
Antide janvier
21 mars 2013 par jobougon
Bonsoir Jocelyne
le final de votre texte me parle beaucoup ; En effet , nous avons beaucoup de rêves en tête , surtout ceux de vrai bonheur , d’amour vrai , le tout allié a une réussite dans la vie en générale ; bien sur , je sais que c’est une utopie et aussi un combat pour gagner ce final
bonne et douce nuit bisous et amitié
Bonjour Georges,
L’écriture est toujours un lieu de rêves par excellence, imagination, création, broderie de mots, points de croix, de franges, de sable ou de corail, allons-y bon train, tout est permis.
Bonne et douce journée,
Bisous et amitié,
Et surtout, bon salon du livre à Paris.
Quand je peins
l’ère respire
l’écriture
venue d’une autre palette
Le rêve émerge
de boue…
N-L
L’homme debout est né d’une boule de boue. 😉
JB
Débout, d’une boule de boue ? les boules !
je vois qu’on profite de l’été pour recycler… et c’est une excellente idée, je ne sais pas bien ce que j’ai fichu en mars 2013 🙂
Ton commentaire me rappelle la phrase suivante, va savoir pourquoi ! Café bouillu, café fichu.
Bises Carnetsoiseauxdodos
Au singulier bien sûr, carnetoiseaudodo. 😀
Mais écrit, ça rend pas pareil. 😉
rêver d’un monde meilleur rêver que l’on se sent bien c’est ce qu’on demande
A reblogué ceci sur L'impermanence n'est pas un rêve.