L'impermanence n'est pas un rêve
C’était la nébuleuse d’Orion,
Qui pondait ses œufs en boutons.
La voie lactée clignait de l’œil,
En préparant son grand cercueil.
Le lait se boit tard dans la nuit,
S’écriait-elle au bout du pis.
Regarde l’espace comme il est grand,
Ta vie est là, fais donc son chant.
Les ailes déployées d’Uranus,
Sur le système solaire rébus,
Transportent les vœux les plus purs,
Jusqu’à la porte de ton mur.
C’est la plus grosse des planètes,
Pluton qui n’est plus aussi bête,
Fait table rase de toutes les miettes,
Sur le plancher de l’obsolète.
Rien n’est jamais si vertical,
Que les rêves que l’on se trimballe.
Personne avant toi n’avait évoqué le bout du pis de la voie lactée!
Inconnu?
Encore eut-il fallu qu’on le susse!
Que vous le sussiez ou pas, c’était pourtant simple à trouver.
Pas comme le soldat unconnu.
😀