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Une étagère bien remplie, voilà qui donne envie de s’y installer et de lire tous ces livres dont vous nous avez parlé.
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Les résultats sont arrivés, l’agenda ironique de février 2017 vient de clôturer ses votes.
Il s’agissait d’écrire une critique littéraire d’un livre ayant réellement été écrit ou pas.
Le livre élu en tête de votes sélectionné par vos soins est :
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« Un livre qui vous veut du bien » de notre cher carnetsparesseux.
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Parce-que la critique ouvre le débat de l’orientation des choix littéraires, de l’influence que peuvent avoir les critiques sur le public, du peu de chances qu’il reste aux autres pour peu qu’ils ne rentrent pas dans le champ d’appréciation des critiques officiels, voilà de quoi faire réfléchir.
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Parce-que toute critique passe par le prisme de celui qui l’émet, et que bien évidemment, elle n’est de ce fait jamais totalement neutre et objective,
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carnetsparesseux décide à travers la sienne d’en faire état et de démontrer combien parfois elle s’avère dérisoire et excluante finalement.
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Merci aux électeurs d’avoir brillamment fait l’apologie de ce phénomène en élisant haut la main la critique de la critique avec ce texte.
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Jean Cottraux, dans son ouvrage « A chacun sa créativité », met très bien en lumière le mécanisme du succès d’un livre ou d’une œuvre d’art, qui survient dans un courant sociétal particulier, et explique pourquoi certains artistes n’ayant pas eu la reconnaissance de leur œuvre au moment de la création peuvent à titre posthume parfois être redécouverts et devenir des célébrités ensuite.
L’animateur élu pour l’agenda ironique de mars 2017 est :
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Ariel Littel.
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Qui nous a parlé de « Lecture du soir » de Julien Green.
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Bravo Ariel.
Je tiens à te dire aussi que si tu ne souhaites pas relever le défi de l’animation de mars, monesille se propose de le faire, ayant un peu de temps à offrir à l’agenda.
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A vous de jouer, et merci pour vos nombreuses participations.