Inspirée par la lecture du texte de Gibulène, voici une nouvelle mouture proposée pour l’agenda ironique qui se tient chez Jacou33 ce mois-ci.
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L’histoire d’Henri IV, c’est selon !
C’est l’histoire d’un roi qu’à été occis au planter de poignard par le gueux le plus célèbre de France et de Navarre, qu’a fini éckartollé général de l’armée Suisse.
Il en rit, l’Henri !
Remarque, l’avait qu’à pas prêcher le trétrasextilisme aussi, çuilà !
Ou le tétranombrilisme, ce qui n’est pâmieux.
Quatrain pour un roi, tous les rois pour la quatrainpéterie !
« C’est au moins du petit Suisse, si ce n’est du petit nègre,
Au moins du petit Suisse à vingt pour cent, ou du vinaigre blanc cristal huit,
Lui-même, parfois, ne sais-je pas où ils conduisent les mots.
Une conséquence de la « pétrique », à laquelle je n’ai pas encore
trouvé matière à répondre inintelligiblement sur mon blog…??? »
Euh, si, c’est viendu depuis !
C’est s’là même !
Peut-être est-il nécessaire de réécrire l’Apocalypse Now ?
Allonzy !
Yavait quatre cavaliers qu’étaient frères comme cochons de lait, qu’ont montés sur un canasson bruyant dont les tétranomdedieu m’échappent tant cette monture courut vite. Le coup de vent passa, les cavaliers virent un carrosse abandonné au bord d’un grand chemin.
La belle aubaine, qu’ils se disent, et vlan, ils découvrent à l’intérieur le cadavre mortuaire de l’henri 4, assis devant une poule au pot encore fumante des naseaux.
Vu qu’ils étaient apocalisptiquement corrects, ils décident de ne pas toucher à la poule au pot, mais cuisinèrent l’Henri des quatre fers en l’air pour qu’il leur donne son carrosse. L’Henri, qu’était pas tout à fait encore froid, leur tire une révérence de derrière les fagots, et va mourir un peu plus loin sous un arbre perché. Les quatre de L’Apocalypse, n’en tétrareviendront pas. Ils sont à ce jour portés appparus devant l’éternité avec pour fougueuse jument une poule sourde comme un pot qui n’en fit qu’à la tête de son bon couloir.
Voici donc l’histoire de l’Henri 4 fois grand-père du côté de sa mère, et tout autant du côté de son frère. Les quatre frères apocalyptiquement corrects sont enterrés du côté de chez Swann.
J’ai tétraentendu dire que les quatre voix qui émanent de mon clavier parlent tellement toutes en même temps qu’il est impossible de ne pas faire de tétralapsus, raison de plus pour en faire encore et encore, tétralogiquement parlant, suivant la raison avec laquelle Descartesfigues mis au raisin toute sa vie à nous la pourrir, belle réussite.
Yadéfoi j’les comprends plus d’elles-mêmes.
Tétra »P »tétra »f » !!!
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/6d /6d /6d ❤ ❤ ❤
ben non pas /6d !!! je voulais écrire 😀 😀 😀 décidemment un farceur Henri !!!
https//6d j’Henri encore.
(http »s » car plus sécure). 😉
Ce farceur d’Henri se s’rait fait sabrecidé par le lapsuslash de la taquinerie ?
Ah méééhhh !!
Défi relevé votre honneur. Votre coquille striée sied divinement bien à votre pied, chère gibulène.
Quant à la mienne, elle est sciée à la base.
.6°/;-)
😮
Histoire revisitée avec style, de quoi en perdre la tête, mais ce sera pour plus tard 😉
C’est-à-dire, qu’une fois perdue, cette tête est mise en demeure, par avis de recherche, de réintégrer ses pénates. Aussi est-il bon de s’assurer de son obéissance, non pas par la domination, mais par pur bon sens.
Gaiement, histoire revue et corrigée, braves gens d’vous autres,
Plutôt que d’risquer la vie d’son fiston
Au Lac des Qua’ Cantons
Guillaume Tell devrait en prendre de la graine,
Profiter d’cett’ bonne aubaine.
‘Xcellente idée !!!
Pour toucher au cœur d’une graine de pomme,
Prenez un fils déjà un homme,
Fermez l’œil gauche, ajustez l’arbalète
Au creux d’une épaule douce mais ferme,
Tendez la corde jusqu’à la rondeur parfaite,
Lâchez le souffle en direction du germe.
L’aubaine des braves qui guidera la flèche,
F’ra quat’ cantons que liberté dépêche.
😉
[…] L’histoire d’Henri IV, c’est selon […]
[…] dans le futur Jobougon redouble (bissextile jusqu’au bout) Mathématiquement scriptural & L’histoire d’Henri IV, c’est selon La Licorne recompte, Faille temporelle et nombre récurrent Bibi moi-même critique l’Abime […]
oh, l’invention de la quatrainpeterie !!
il y a de quoi réécrire l’histoire de la proésie, en débusquant les sornettes serpentant dans les sonnets 🙂
Ou les serpettes sonnant de toutes les sornettes en broussaille de la création, ça oui ! Pour tailler des sentiers serpentant dans la garrigue, en quatre trains de vers, et hop, c’est partie péterie contre pèterie.
Excellente suggestion au prosodébotté, carnet !