Très chère Madame, j’accuse la réception de n’être qu’une pâle copie de vos mots. Vous m’aviez habituée à plus aigu, plus lacérant que ça, et je ne peux que constater combien la pâleur de vos particules d’ouvrages lignifugés sortent des rangs de nos clichés les plus transparents qui soient, mais n’atteignent pas la dimension du quart de la feuille de papier entière, qui, soit énoncé au passage, ne s’est pas fêlée pour l’autre demi-cinquième, mais est bien mâchée et remastiquée en pourcentage inconnu de nos services comptables. Je dois reconnaître par contre que votre piment de voyelle est d’un tout autre monde. C’est donc armé de ma tronche en cuttercut biaisé que je déségloquerai les deux premières lettres résiduelles en m’interrogeant sur la qualité étonnamment parfumée de vos éxéglocutions, digitalement parlant, que nous catacyclopédirons immédiatement en donnant un peu plus de cervelle à nos, ah, on me dit de ne pas les citer, je ne parlerai donc pas des moutons qui se comptent à pas lents, jusqu’à ce que sommeil ne s’ensuive pas toujours, car il arrive parfois que le…
Ah, on me dit de ne pas citer non plus le loup, donc laissons le sous le silence. Le silence, ça saoule. Remarquez bien qu’avec quatre pattes à son actif il a un équilibre hors du commun.
Voilà donc une proposition que me refourgue donc le vieux Noël ! Quel poilu des deux mains celui-là ! S’est-il foiré, pas frit de vous écrire lui-même que les verbes hauts et les syntaxes décentrées, lui, il n’a pas les yeux pour les parcourir en face des trous. Il a une déjante à gauche, c’est ce qu’aurait dit le document incisif.
C’est pourquoi : Primo, voilà ce que je vous propose.
Vous allez commencer par trier les premiers jets, puis nous regarderons ensuite les horaires des suivants. Le vol 4985 en direction de Singapourien me semble correct, ils ont du papier W-C imprimé à l’encre d’œil de biche, mieux que le pied, c’est exactement ce qu’il nous faut.
Ensuite, vous ferez exactement le contraire de ce que je vous dirai. Quand je prononcerai ardoise, vous ferai la tuile, vous comprenez ?
Par exemple je dis Balthazar vous dites ?
Vous dites ?…
Je vois, on n’est pas rendu.
Bon, assez épilogué, sans sept ans d’insupportable légèreté de Noël, vous ne changez rien à vos écrits, vous continuez comme bon vous inspire votre loufoquerie légendaire.
Et j’arrive.
C’est Morphée qui répondit à Madame Cyclopédie
30 décembre 2016 par jobougon
Misère, je vais demander de l’aide au vieux Pr Taurus pour certains mots, j’y entrave que dalle ! 😆 Sauf la fin, nettement plus à ma portée ! 😀
Ah oui ! Madame Asphodèle, vous allez me faire le plaisir d’apprendre à bougonner, voyons ! Laissez votre cerveau aller là où il a envie d’aller, sans trop vous éloigner, bien sûr, 😉 et vous serez bien moins entravée que la dalle dont vous citez les effets déstabilotés à l’encre d’aplomb.
Je vous prie de transmettre à ce cher Taurus toute ma profonde amitié, et vous en transmets tout autant.
je souhaiterai une année fraîche, puisqu’aussi bien elle n’a pas encore servi ; c’ est le bon usage, mais aussi une sincère amitié.
Serait-elle nouvelle, que tu me l’eusses annoncée de la sorte ?
Et bien, je crois qu’elle fait la première ! 😀
Bon usage reçu, 2017 / 2017, très cher Hervé, avec tous mes souhaits encrés, et en juste retour à ta sincère amitié, la mienne.
Quelles sont les bonnes résolutions, de l’autre côté du fleuve ?
J’ai découverts Charlotte Salomon grâce à toi, merci.
https://autrecotedufleuve.wordpress.com/