Faire des siamoiseries,
C’est comme débarber la folie.
Il y a ceux qui s’y jettent,
Ceux que la chose inquiète.
Juste à la pince à épiler,
Même pas moyen d’y échapper.
L’arrachage n’est pas compliqué,
Une paire de lunettes sur le nez.
Tu t’approches du bulbe du poil,
Tu pinces la base, ça fait pas mal,
Et d’un coup sec un peu brutal,
Tu le déracines aïe aïe aîe.
Ceusse qu’ont trois poils sur le menton,
Auront vite fait d’avoir raison,
De chaque repousse à l’avenir,
En surveillant l’entretenir.
Je n’aurai pas le dernier mot car il n’a pas encore été formulé.
27 janvier 2016 par jobougon
Aïe ! ça me fait mal rien que de lire. Débarber la folie, faut-il ?
Oh ! Ben zut alors ! Si nous ne pouvons même plus délirer tranquilles, mais où va le monde ? 😉
La folie s’enracine si profondément dans l’homme (des deux – ou plus – genres) qu’il faut se demander si la raison ne serait pas une variation trouble de la susdite..
Maint’nant, déraciner la raison ça s’rait un peu trop facile et pas du jeu 🙂
Variation trouble de la susdite… Whouah ! Brillant !
Et puis déraciner folie et raison, mais que restera-t-il à l’homme ?
Gardons le jeu, la raison du jeu, et vivons sa folie.
Merciiii ! 😀
Brillant ? ben enfin, tout était écrit dans ton billet, y ‘avait plus qu’a copier 🙂
« Gardons le jeu, la raison du jeu, et vivons sa folie » ça oui ; et si on arrivait à ce qu’il ne nous reste que ça, quel progrès enfin !!
🙂
Il y a aussi l’épilation électrique. Mais je n’ai pas testé.
En matière d’épilation je crois qu’il n’y a que le laser que je n’ai pas testé. Trop blonde ! Aucune méthode n’étant hors torture, je garde donc les poils en l’état sauf quand le chien me traîne jusqu’à la toiletteuse… Ah, les chiens et leurs lubies de couper tout ce qui dépasse ! 😉