Y’avait d’l’ambiance dans le tripot,
Ça fusait sec et pour le beau.
Y’avait le roi qu’était absent,
Avec une excuse de son temps.
Y’avait comme un relent d’agrumes,
Ma foi ! J’y perdais pas des plumes.
Ils se sont tous mis à parler,
Les nouveaux aux yeux grands ouvrés.
Ils avaient des tas d’choses à s’dire,
Pour que le moteur s’y enivre.
Mon voisin de gauche au chapeau,
Ma voisine de droite au drapeau.
Tout l’monde arborait sa couleur,
Des convictions mises à l’honneur.
C’était une très grande réunion,
Où même l’humour fit belle légion.
Et PI prétendit que le poids,
Prenait une vraie place de choix.
Moi j’ai rien dit, mais j’ai bien ri,
Car j’y voyais l’espièglerie.
On a fini sans mot du jour,
Mais il faisait beau alentours.
Et chacun repartit surpris,
Par tant de joie et tant d’envies.
Ça valait bien une heure ou deux,
De mes vacances bien m’en a pris.
Et je m’empresse, je remercie,
Celui qui m’avertit des jeux.
Une belle ribambelle de joyeux,
Ça vient mettre du baume au travail.
C’est comme une galette du bon Dieu,
La fève n’est rien que passe-murailles.
La réunion du sommet des grenouilles qui ne sont pas des andouilles
11 septembre 2015 par jobougon
on y est dans ce charivari
On y plonge à pieds joints, yapafoto. C’était une belle réunion.
Nous en sommes restés tous cois.
Coi ? toi ? pouah !!
🙂
L’onomato pique, c’est vrai que ce ne fut pas silencieux mais bien stupéfactionnant. 😀
Y-a d’la joie, comme aurait chanté quelqu’un de connaissance…Bravo.
J’avoue, on s’en est donné à cœur joie ce jour là. Merciii !
Manque plus que la pinte de bière pour arroser les commentaires !
Une pinte sans rire n’est pas une pinte. C’est une dépinte.
Du moment que ça communique, le brouhaha importe peu sans doute.
Faut que je me nettoie les zoreilles tout de même pour saisir le sens ou le non-sens!
Suggères-tu que le style soit à modifier ? Je ne sais pas pourquoi soudain quelque chose me met mal à l’aise. 🙂