Dans l’espace où je me déplace,
Comme sur un échiquier subtil,
Se lient les rêves un peu coriaces,
Et le réel qui me mutile.
Entre deux stratégies obscures,
Résonnent les plaies et les blessures,
Qui ramènent invariablement,
Dans la lisière de l’existant.
Mais l’écart parfois se resserre,
Quand le ciel s’approche de la terre,
Jusqu’à rejoindre les deux bords,
Aussi fugaces soient ces accords,
Il sont mes guides, ma direction,
L’écart n’est jamais qu’une fonction,
De maintien de vie et d’action.
Entre deux territoires abstraits
3 juin 2014 par jobougon
Tu as du vrai talent!
Bonjour Jocelyne
Je suis tout a fait d’accord avec votre texte . Il est très juste , nous sommes toujours sur le fil du rasoir pour ne pas changer de monde et pour rester en équilibre sur nos frontières personnelles
bonne et douce journée Bisous et amitié
A reblogué ceci sur Espace perso de georges.