On s’est rencontrés comment ?
Oh ! Si simplement !
En ne gardant qu’une conviction,
Et puis le doute un peu au fond.
L’abordage se fait à tâtons,
Pour en faire la plus belle leçon,
Que la terre ait jamais porté,
Quand elle n’est pas un nid moulé,
Mais bien l’invention de chaque jour,
Qui réinvente un peu l’amour.
La solitude est un atout,
Quand elle nous laisse encore debout.
La réunion est un fanion,
Quand elle est un lieu de passion.
Les dosages auront du courage,
Et toute la patience d’un ouvrage,
Qui aura besoin de patience,
Pour donner forme de renaissance.
Je n’ai plus le doute d’y croire,
Mais fais semblant encore d’y voir,
Autre chose qu’un petit mouchoir,
Quand la vie n’est plus qu’illusoire.
Dans les rideaux qui sont posés,
Les ramages sont si enchantés,
Que toute la nature s’éveillait,
En contenant bien ses secrets.
Le pain était sur le plancher,
De la connaissance ouvragée.
Le portail
28 février 2013 par jobougon
La solitude n’est pas souvent voulue , mais surtout accidentelle . Le pire dans tout cela c’est qu’une fois que l’on est trahi alors que nos sentiments sont profonds et sincères , nous voyons basculer la vie et qu’il nous semble voir arriver la mort , l’envie de cesser de vivre . Il nous faut parfois des années avant de pouvoir commencer à revivre et refaire confiance , a essayer de refaire de reconstruire quelque chose de réel et de solide avec au ventre la peur de la trahison . j’adore ce texte
on a besoin de solitude comme on a besoin de se réunir les deux vont de paire