Dessine-moi un métro
Chante-moi la zizanie
Un troupeau de moutons
Une grenouille deux brebis
Dessine-moi l’éléphant
Mangé par le « beau A »
La racine de printemps
Qui pousse son « petit a »
A aller de l’avant
Pour chercher dans ses bras
Cet amour d’autrefois
Qui n’attendait que toi.
Ma préférence
28 septembre 2011 par jobougon
Publié dans Amour, poèsie | 14 commentaires
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Pages
la racine de printemps
c’est si joliment dit
d’un zeste de paradis
je traverserai le temps
Pour que cet autrefois soit aujourd’hui
Que pousse ainsi la trompe
Et le coeur à tout rompre
Dans vos bras, ce bel abri,, mon amie,
Une grenouille, deux brebis
Métro-boulot, Point de zizanie
Pour la bête à deux dos
Rien est de tout repos
Une grenouille deux bénitiers
Il n’est nul besoin de prier
Un canard vingt ans de retard
Qui nécessite d’avoir cet art
Platon dirait son dernier mot
Dans un banquet où il fait chaud
Sans rompre pour autant la trompe
D’un merveilleux deux dos j’y go
A boire un zeste de printemps
C’est d’une racine de gingembre
Que je culbute et que j’enjambe
Avant même de prendre le temps
Bel ami c’est douce folie
Que de m’alimenter ainsi
D’un palpitant déboussolé
Dans l’Ouest de nos jours dorés.
En rapports culinaires
A votre bouche d’ambre
Le piquant du gingembre
Je sens que vous savez faire
La poudre aphrodisiaque
Au Platon du banquet
Ce plaisantin, ce freluquet
Assaisonne la barbaque
Sans être un brute
J’ai repousser les assiettes
Qui sont tombées en miettes
Et sur la table vous culbute
J’avais bien deviné
Les légumes, le tajine
Les fumets de cuisine
En vous parfumée
J’ai quitté l’état petit
Pour vous alimenter
Comme vous le souhaitez
Avec grand appétit
Pas de canard boiteux
De petites grenouilles
Entourées de nouilles
Savourerons à deux
;;;;
A nous deux la vie
Bon appétit, ma mie.. !!
alors, c’était bon, ma chouette, mon pinson ?
Chouette et pinson
La chouette croit pour de bon
Que Marquis est Pinson
Pinson rirait sous cape
Sous le loup des agapes
L’appétit vient dit-on
En mangeant les pinsons
Pas les petites grenouilles
Qui boitent et qui chatouillent
Tout en quittant les tas
De légumes parfumés
La chouette énamourée
Est toute émoustillée
Mais le jeu vaudrait bien
La chandelle dit-elle
Elle se demande qui tient
Le candélabre et l’aile
La miette est culbutée
Sur l’autel cuisiné
De Platon dégondé
Plutôt dévergondé
Se défendre d’être une brute
Plaisantin qui reluque
Direction ma barbaque
C’est déjà une claque
Un fumet de cuisine
Qui vaudrait bien sa mine
Des confitures en ruines
Freluquet se débine
C’est avec Aphrodite
Que psyché eu vindicte
Mais l’Amour de l’Eros
A eu gain de la hausse
C’est au fond d’une fosse
Que désastre assuré
Ferait mes yeux pleurer
Sans venir de carrosse
Ne soyez pas contrit
Si loin de mon passé
De nous je ressurgis
Des couleurs délavées
C’est Freud qui me regarde
Sur mes réactions darde
Le regard de lumière
Qui me rendrait si fière
Pinson assaisonné
Et chouette un peu sonnée
Entrèrent dans la danse
De bien curieuses souffrances
M’en voyez au regret
De ne pouvoir filer
Amour aussi parfait
Que vous auriez aimé
La nature a ses doses
L’inconscient a ses causes
J’ai bien du mal à croire
A tous ces vains espoirs
Vous auriez parfumé
Le loup un peu sonné
A l’Annette et au jus
Je vous en saurais gré
Mais le jus ça déchut
Ça coule comme des larmes bues
Ça énumère encore
Les erreurs de décor
La mie a bonne faim
Vous lui souhaitez bien
Mais sans A et sans B
La vie n’est pas en paix
J’adorerais ces jeux
Si demain pas qu’un peu
Vous auriez le loisir
De ne pas y moisir
Le fromage sentait fort
Ce piquant du trésor
Au gingembre confit
Où nous serions marris
Voici ma préférence
A entrer dans la danse
Toutes portes grandes ouvertes
A toutes les découvertes
Parlons même langage
A travers tous les âges
Soyons mon doux champion
Loin de tout Tartempion
Ma bouche serait d’ambre
Ma forêt qui se cambre
N’aurait d’autres assiettes
A vous remettre en fait
Marquis j’ai adoré
La voile et les idées
Le vent m’aurait poussée
A être désirée
Et d’ailleurs en ravages
J’avoue je fais naufrage
Mais c’est avec courage
Que je remplis ces pages
Il est des ciels d’Azur
Que je rêverais purs
Qui seraient d’aventure
Un peu plus que couture
A relier mes bouts
Sens dessus et dessous
En cousant le tissu
Qui ferait ce fichu
Fichtre me direz-vous
Va-t-elle trouver le bout
Je cherche encore mon or
Mais je crois bien qu’il dort
Et je rampe à genoux
De le sentir si doux
Sans pouvoir avouer
Que j’aimerais le serrer
Tout contre ma poitrine
Parcourir sa bobine
Et me réconcilier
Avec le monde entier.
Il est vrai que l’amour est bizarre , il ne se trouve pas toujours là ou on l’attend . La vie réserve parfois des surprises . Nous sommes amoureux d’un tel ou d’une telle et puis voilà que par une mystérieuse alchimie l’amour nous envoi autre chose et enfin le vrai soleil brille dans notre coeur .
Je me suis longtemps interrogée sur le sentiment amoureux, pour le comprendre, l’analyser, l’approcher pensais-je un peu plus.
En fait il ne se pense pas.
Il se vit. Et fragile et solide tout autant, il se pose sur tant d’inconnues que c’est le mystère le plus obscur de la vie après la mort semble-t-il.
L’inconscient aurait une part si énorme dans ce sentiment que l’expliquer serait vain.
Alors il est, ou il n’est pas.
Tout simplement.
Et pour le savoir, quand on croit deviner sa présence en interaction, il s’agit d’aller y vivre quelque chose, qui n’est pas toujours de l’amour. Seul le temps nous fait son oeuvre, seules les personnes concernées peuvent aussi donner de soi dans cette affaire (ou pas) et ainsi va le chemin des aimants.
Belle analyse… j’ajouterai la mienne, si il y en a encore la place ( si c’est utile)…
Que l’A échappe à la définition, parce que passant par le ressenti, et non l’intellect..
Que le A de l’un n’est sans doute pas comparable avec ce que ressent l’A de l’autre…
Et que même en tant que personne, la définition de l’A est à chaque fois différente pour soi, … parce qu’on ne perçoit pas les mêmes choses avec les personnes aimées, parce que chaque jour nous fait différent, donc avoir une approche différente
Et c’est si différent qu’en face ( de ces déguisements), nous avons parfois du mal à l’identifier..
et si le temps fait son office.. c’est parfois pour nous ouvrir les yeux, sur quelque chose de fort, que nous n’avons pas su voir ( à temps)
Le grand A et le petit a prend une nouvelle couleur à mes yeux avec ce commentaire. L’inconscient était là lors de l’écriture, vous éveillez ma conscience, Marquis.
» Et je rampe à genoux
De le sentir si doux
Sans pouvoir avouer
Que j’aimerais le serrer
Tout contre ma poitrine
Parcourir sa bobine
Et me réconcilier
Avec le monde entier. » —– dis tu
Sans prétendre serrer contre soi le monde entier
Déjà laisser son texte aller, et puis se confier
Son être, divaguer, – sans craindre jugement
C’est toujours ajouter, joie , ravisement et apaisement
Surtout quand on est si bien entendue
Si bien accueillie aussi
De cette bienveillance la confiance peut naître
Et l’oreille amie, si elle peut tout entendre
Alors tout peut aussi se dire
Sans frayeur, sans honte, juste parce-que se livrer
C’est bien aussi se libérer
Se délivrer de son fardeau
Sans pour autant encombrer l’autre
Puisque le réceptacle à nos questionnements ne fait que réceptionner,
Entendre,
Mais non pas porter pour nous.
Livrer son habitacle
Pour en faire un royaume
Dans des vides à créer
Le monde à son idée.
Sans prétendre serrer contre soi le monde entier
Déjà laisser son texte aller, et puis se confier
Son être, divaguer, – sans craindre jugement
C’est toujours ajouter, joie , ravisement et apaisement
Ravisement ? Du verbe se raviser, ou bien ravissement, du verbe ravir ?
M’esscusez MMe, si le s a glissé d’entre mes doigts fins
Je me ravise— et bise au mieux , que je ravis le destin.
C’coup là, manque t-il à ton festin un A ?
Sans biaiser pour ta préférence souât ?
Dans la vallée du Haut-Souât, les forêts sont peuplées de hêtres, de cênes, de noisetiers, d’Oliviers sauvages. Le froment, l’orge, le riz, le maïs, le abac et le coton sont les principales productions des pleines…
Il manque un A à mon destin…
Une préférence à mes festins…
Une boucle d’or aux intestins
Pour éclairer mes doux chemins,
Un parchemin dans tes dessins
Ferait bien pire que les matins
Où écumée du vent des saints
Tu as vidé la coupe des liens
Qui me lieraient encore les mains…