L’escarpement du parcours tracé à la voix d’alunir fait fuir les curieux du bocal d’escient déplacés par les buveurs de biens. Ainsi peuvent gravir allègrement la déclive ceux qui, créateurs de justes fantaisies, sur les hauteurs du Mont Fuji, d’un rythme jonglé constantatoire marquent les pages des livres oubliés.
Cette route de la légende écrite, endurablement lavée du volcan, surprend le voyageur par la précision de son pinceau.

https://ledessousdesmots.wordpress.com/2021/02/13/aux-gouts-nuances-le-vivant-saffronte/
Grande admiratrice du style nuancé d’un artiste hors du commun, j’ai un peu honte mais il m’est venu l’idée baroque d’imiter le genre rococo de l’artiste en éditant de temps en temps des micro-looping du caractère approché.
Voici le premier trajet, avec Hokusai pour illustrer mes petites promenades elliptiques en pays lettré.
Vous pourrez aller suivre les tribulations de cet artiste au sommet de son art jargonné avec le lien fourni ci-dessus.
Quand c’est grand et bon, il est bon de le reconnaître.
L’imiter est un défi.
Chaque exercice le relève.
Un grand bravo Max-Louis Doré à la Gustave.
Re Bon jour Jo,
Heureux de te lire sur ce sommet dont je suis l’humble admirateur dans la modeste vallée … 🙂
Voilà un texte tout à fait lumineux qui éclaire mon insignifiante lanterne vers une direction d’un Soleil dit Li Vhan qui ne se couche jamais sans sa parure éternelle de couleurs que même le rayon vert a son entrée… et le titre est subjuguant que je suis déjà à cette source aux beaux reflets aux jaillissements futurs qu’il me tarde de boire … de lire … 🙂
Merci Jo, tout simplement.
Max-Louis Tout à vous lire…
Merci infiniment Max-Louis,
Pour la lumière éclectique prodiguée par ces paroles écrites sur le Mont des Lices de la vertu suivante :
Ne soyons ni confiants, ni banals, ni empressés, trois écueils ! La trop grande confiance en les rayons verts de la poésie accentégü le respect de la muse du soleil couchant, la banalité de la prose nous vaut le m’épris de l’alphabet Hébreu comme La Tène, le zèle nous rend excellent à explorer l’édition du brouillon de culture. Honoré guide à suivre que cette parole altière et sage.
De la souplesse à la souplissement, de la xentricité à vuptitude, je t’offre ces quelques vers verts :
Les feuilles de lotus n’étaient pas souillées par la boue,
Ainsi furent-elles peintes à l’encre noire.
La nuit dernière, les nuages étaient épais,
J’ai peint dans ma chaumière, parmi les brumes de l’orage.
Par l’athanor de la création littéraire et par la cuisson du mot mi-cuit à point, grâce au souffle doux de son entretien, je te salue au plus profond de la modeste vallée où tu rayonnes.
Tu m’offres là une belle étoffe de mots et j’en contemple les entrecroisements et les fils, un à un …
Hokusai ? c’est vague………
chacun fait ce qu’il peut pour apporter sa pierre à l’édifice 😀
Bonne soirée Jo
Merci gibulène,
C’est que la pierre est de taille, et l’édifice de fière allure dénué d’orgueil, sous son humble charpente. Et ce que chacun peut apporter est aussi précieux que les rayons de lumière qui nous ont donné la vie.
Belle soirée à toi aussi.
[…] Blog : Éveil & Vous – Éditions (Challenge du 1er au 28 février) et Jo « promenades elliptiques« […]