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Ossian fait monter les esprits avec sa harpe sur les bords de la rivière de Lora, vers 1811 (voir 146776) – Baron François Pascal Simon Gérard
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– Vous êtes de la famille des magnolipsida ?
– J’ai la force de la Louisiane et le souffle de Chine.
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LaO FuCius
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Ainsi l’Aster symphonise,
Et sa révolution syphonise,
Le pétale du vivace,
Sous l’étoile T2 tasse.
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La Chine odorifère,
Que le souffle sans fer,
Nul cas du rossignol,
Reçoit dans l’entresol.
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Nul ne sait qui des T,
Vint oeuvrer en premier.
La haut la confusion,
N’aura pas de prison.
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et le rossignol ? eh bien, il s’envole !!! 🙂
Ah mais !!!
Il s’est envolé pour aller aider l’Aster à se décotyléder le confinement pour ne pas avoir à porter masque et tuba de la plongée en apnée Mayolesque.
Des fois, quand je me relis, je me dis que je raconte vraiment n’importe quelle profondeur de champ de Mars, et quand je réalise qu’avril est là, c’est pour empâqueter de la légèreté de plus.
Bah, le climat social n’est pas en sa cohérence la plus fameuse, alors, je me pardonne d’être aussi folle qu’une fleur d’Aster, autant dire aussi nature que la nature elle-même.
Merci gibulène. La Terre wordpressienne m’aide à rester dans le rossignol du chant, à moins que ce ne soit l’inverse…
Quel drôle de monde, que celui de l’être humain et sa relation à la mort, et à la vie.
https://laurentprum.typepad.com/.a/6a01676828f9d2970b01b8d237f769970c-pi
il a bien fait 😀 un peu de mal à suivre parfois mais dans la profondeur de tes délires j’y retrouve un peu les miens. Tout va bien 🙂
Bon jour JoB
LaO Hi Phi dit : je dégraine fort à la lecture quatre à quatre de tes quatrains et descends les escaliers à plein revers de la compréhension en panne sur le bord de la lisière « Sous l’étoile T2 tasse » dont la brillance à chaud tient la ligne de flottaison à la marge absente pour congé sur l’onde de la pleine terre … poétique …
Max-Louis au delta du T
Bonjour M-L-Iotop,
J’ai cru voir deltaplaner le plein champ poétique à la lecture de ces quelques lignes, alors qu’à l’instant T exactement, j’étais en train de me dire, ceci sans relation aucune avec notre propos ici présent, que je préférais, et de loin, être un poète râté qu’un assassin réussi. Bref, l’horizon, comprenant mon désarroi, vint me chanter une graine d’offrande à la lumière du grand escalier. C’est en ce therme que l’eau lava.
Bien le שלום en un temps propice à la résurrection de l’aube.
Jôb, qui te salue triplement en tout bien et toute compascivettement.
Cette expression me plaît plus particulièrement : » ..que je préférais, et de loin, être un poète râté qu’un assassin réussi. » J’adore 🙂