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J’écris de l’ancre du bonheur,
A la réunion de nos cœurs,
Sur le papier du sentiment,
Qui se fait doux au fil du temps.
J’essaime à la brise de l’espoir,
L’agrandissement de nos accords,
Dans le concert des arrosoirs,
Et la croissance qui nous honore,
A construire les espaces communs,
Où se rejoignent nos deux mains.
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Par l’écriture à dos d’humeur,
Orientée vers la douceur,
J’écris à l’encre de l’ardeur,
Pour construire ce monde meilleur,
Dont nous rêvons depuis longtemps,
Jusqu’à la rime de la tendresse,
Avec laquelle ma plume caresse,
Ce goût de la délicatesse,
Qui fait le ciment de la paix,
Et le trait de solidité,
De notre belle complicité.
L'impermanence n'est pas un rêve 
« Dans le concert des arrosoirs » ça me plait. 🙂
J’entends la musique des instants d’aimer dans les mots distillés… Joli !
Merci Laurence.
Comme tu as su beau voir ! Car c’est une symphonie en sol fertile qui laisse pousser le sentiment à son rythme, ton oreille est subtile et réceptive, et la dégustation de sa liqueur de fruits est un art.
Bisessss.
moi aussi, je vote pour le concert des arrosoirs ! j’en veux encore, et plus !
C’est bien d’un Dodo disparu d’aimer la musique, do² soit-il.
Bisessss à toi aussi
L’agrandissement de nos accords…
Pour moi qui vient de fêter nos 27 ans de mariage, ce vers sonne comme la vérité de notre vie !
Joli concerto à quatre mains ! Le meilleur souhait à vous offrir étant de prolonger l’expansion le plus longtemps possible, bravo à vous deux, toi et ton compagnon, d’en être arrivés à cette vérité là.
Bisesss Alphonsine
J’ai suivi mon fil du temps jusqu’au tien…charmante coïncidence…<3
¸¸.•*¨*• ☆
Merci Célestine d’avoir filé le temps jusqu’ici. Je peux ainsi retrouver ta trace pour aller chez toi. Et la charmante coïncidence afficha son chemin. Ce que tu offres est d’une beauté sauvage à mettre en application en toute félicité.
http://celestinetroussecotte.blogspot.fr/2017/04/putain-de-temps.html
J’aime.
Merci à toi.
¸¸.•*¨*• ☆
Continue à écrire avec ardeur pour notre plus grand bonheur!
Bises la Jo pas si bougon.
Tant que l’encre coule, elle s’évertuera à chanter comme les fontaines de ton jardin. Merci Leo
https://leodamgan.wordpress.com/2017/04/21/et-au-milieu-coulent-5-fontaines/
Petit bijou d’encre à l’ancre du toi et du moi. Mélancolie délicate et subtile sur les rimes de la vie. Merci Jo.
Ben merci Anne, ce « petit bijou », si bien formulé dépose une goutte de rosée sur une rime fleurie et vient apaiser le doux parfum de mélancolie qu’elle exhale.