Trois avril de l’an de grasse 2017
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Oh l’indigestion !
C’était au moins du pi30% de matière grasse !
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https://youtu.be/Xrzr9BKqjR8
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Chassez-moi ces servissitudes que je ne saurais voir.
La dominattitude est dorénavant interdite par l’article vain de la constitution des égalitudes cardinales. C’est c qui me l’a raconté. Il a l’air de savoir tout sur tout, il en connait un ramage, comme on dit !
Mon ami le c comme come, o comme oiseau, enfin, vous savez qui, j’abrège. Donc mon ami m’a mis au parfum et convié aux sommets des mammifères en détresse, département des débarrassages de fromages en tous genre, pour alléger la tête à Pupuce. J’étais perché sur la plus haute branche du baobab quand il est venu me demander de l’aide.
Il voulait dégager Pupuce et faire d’un sauvetage deux estomacs pleins. J’ai bien mangé, mais je crois bien que mon estomac me le reproche un peu. Je ressens comme un soulèvement, une révolution gastrique, une coalition intestino-digestive. Le médecin de bord m’a conseillé la laxatitude et m’a prescrit un esturgeatif. Il est adepte de l’imbricattitude néologique.
Ils ont capillotracté Pupuce par un cheveu, et elle a tenu par son fil (pas dentaire, elle a les fanons d’la chance la p’tite, les fanons pilaires, sans serres) jusqu’à destination. Une vraie baleine d’avril ! Le rotor faisait un de ces boucan. J’avais bien quelques auditroubles pour comprendre ce que me disait c comme oiseau en abrégé mais j’ai compris l’essentiel, je crois qu’elle ne se sentait pas très à l’aise, suspendue au bout d’un fil qui ne tenait que par ce fil qui ne tenait que par ce fil, ce n’était pas très sécurisant. Pupuce avait la bouche pleine de fromage. On a fini par tous adopter la taiseusatitude, par solidarité. Moi, j’étais sur le dos de Pupuce, c sur le mien, et nous ne savions pas si l’un d’entre nous allait tomber ou pas. Pupuce semblait en désaccord avec notre solidarité au décollage, nous n’avons pas compris pourquoi. A la concertation, il nous a semblé important de tenir bon.
Me voici en photo. Ah tiens ! C’est Pupuce qui va être contente. Elle en rêve tellement. Un jour, je l’emmènerai à une poussinade.
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Non, Jobougon, si tu pouvais éditer celle où je suis en haut de la branche, merci.
Je te vouerai une redevabilitude infinie.
Ah ! Tu ne préfères pas. Si, c’est déjà fait, et c’est là : Journal de bord de Pupuce épisode 2
Bon, d’accord. Merci pour la gratuitude alors.
Journal de bord de Pupuce épisode 3
5 avril 2017 par jobougon
[…] Deux avril de l’an de grâce 2017 .
là, sans aucune raison sauf de profonde réjouissance, j’ouvre un large bec et je dis : punaise, l’iliade et l’odyssée n’ont qu’à bien se tenir, et la Pénélope du fil à fromage peu toujours rêver d’une fondue-party pour festoyer le retour d’Hélas-Ulysse, elle n’arrivera pas à la bobine de la cheville de la bande à Pupuce !
Merci carnet de venir participer activement aux réjouissances.
Bec de Dodo grand ouvert et le fromage cherra.
Dis-donc, Pénélope se met en concurrence ?
J’espère qu’elle aime la cheese party aussi alors.
😉
Un scoop
Pupuce aurait été aperçue à Ostende !!
http://www.dhnet.be/actu/faits/une-baleine-boreale-decouverte-pour-la-premiere-fois-en-belgique-ces-5-autres-visites-surprenantes-58e12eb0cd70812a652ecf22
Bisesss
L’influence des chocolats Belges sur la mgiration des baleines est donc prouvée 🙂
Whouah ! C’est d’une logique irréfutable ! Merci Valentyne.
La Belgique n’arrête pas le progrès.
😀
Mieux, elle y contribue…
J’ai chez moi, dans un coffret, un magnifique cheveu de baleine en soie véritable dont je me demande s’il n’a pas appartenu en son temps à Pupuce…
Mais ce serait fort de cas fait, cette coïncitude ?…
¸¸.•*¨*• ☆
Tiens ça alors ! Cette soie, elle mesure 50 mètres ?
J’ai une certaine déconcertitude à lire ces quelques lignes.
Ou alors, Pupuce ne fait pas son âge.
Trop fort de caféïtude j’en conviens.
🙂
[…] Licorne : Une île, au loin … – Jobougon : Journal de bord de Pupuce, acte I, acte 2, acte 3 – Une patte dans l’encrier : Le lac de l’impossible, affreuse et terrible […]
J’étais en train ce matin de laisser un splendide commentaire quand mon ordi a décidé de me planter là avec tous mes mots. Crotte. Car j’y disais en substance que la capillotractitude était au cétacé ce qu’un chicon est à l’hélicoptère. Une vie si situde ! Aussi, n’est-ce pas trop espérer que le fil ne casse point car qui trop casse bien se plante ! Et comme je ne sais plus ce que je disais mais que je sais que c’était bien meilleur que ce que je dis maintenant, je me tais et laisse parler les autres (ça c’est duraille).
Qui trop casse bien se plante me fait penser à cette image.
Et je me disais que pour le coup, c’était ton ordinateur qui t’avait planté ce matin, alors j’essaie de deviner quelle jolie fleur tu vas devenir.
J’hésitais entre une rose et une rose, et puis j’ai fini par me décider pour une rose.
J’en étais là de ma réflexion lorsque le chicon et l’hélicoptère ont fini par rattraper ma pensée flottante en me mettant face à leur similitude directe. Si tu ne m’en avais pas parlé je n’aurais pas fait le lien seule.
Merci chère consœur de Chocolacie. Je te souhaite une bonne douçaillerie. J’aime bien te lire, moah !
Hi hi ! Ma béatitude n’a d’égale que ton talent à nous embarquer (toi aussi) dans des histoires qui donnent le sourire !!! Félicitudes cher Jo Bougonitude ! 😆
Adepte de la béatitude innée naturelle spontanée, je me réjouis de cette belle émulitude toute Asphodélienne. 😉
Dame reine du net, que voici un compliment reçu avec cet état de grâce qui me monte aux joues, m’étire les zygomates et les fossette de part et d’autre, et ne sachant comment être à la hauteur en matière de remercietude, je t’offre une croisière gratuite à titre honorifique.
Bienvenue dans « la croisière s’amuse », et à bientôt pour une nouvelle suite en forme d’aventure. 😀
Punaise, me voilà estomaquée devant tant de perfectitude. Je salue et j’admire. Mais pour la fondue, elle aurait pu aller la manger sur un sommet suisse. Je l’aurais rejointe et j’aurais partagé avec elle son morceau de gruyère sans trou.
Cette fondue est une excellente idée-party à ne pas négliger. La bande à Pupuce ira se pencher sur le sommet de la question, nous découvrirons peut-être sur quelle cime cela va les emmener. Je ne manquerai pas de te tenir personnellement informée.
Merci Alphonsine. Je punaise un petit mot à leur attention.
[…] « Journal de bord de Pupuce épisode 3 […]
Tant va le fil à l’eau qu’il se casse… Euh non, qu’il se mouille… Il y a quelque chose qui cloche là-dedans. C’est parce que c’est Pâques?
Va-z-y Pupuce, montre ta forcitude!
Il y a fromage sous cloche, c’est louche !
Tous ces sons rendent sonnitudinalement dingue. Je me demande si fil mouillé n’amasse pas mousse.
De là à en déduire que c’est le mousse qui sonne les cloches de Pâques, il n’y a qu’un pas.
[…] Licorne : Une île, au loin … – Jobougon : Journal de bord de Pupuce, acte I, acte 2, acte 3, acte 4, – Une patte dans l’encrier : Le lac de l’impossible, affreuse et terrible […]
[…] La Licorne : Une île, au loin … – Jobougon : Journal de bord de Pupuce, acte I, acte 2, acte 3, acte 4, – Une patte dans l’encrier : Le lac de l’impossible, affreuse et terrible […]