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Pour l’agenda ironique d’avril, an de grâce 2017, l’écrevisse déploie toute sa fantaisie !
Pour notre plus grande perplexitude.
Trouver des mots en « itude », hurluberlus de surcroît, voici l’un de nos challenges à relever.
L’autre, c’est d’embarquer.
On ne sait pour où, on ne sait sur quoi, et on ne sait quand.
J’en oublie un peu, le mieux, c’est quand même d’aller lire chez l’écrevisse.
Suivez ce lien :
https://ecriturbulente.com/2017/04/01/agenda-ironique-etes-vous-prets-a-appareiller/
L’éventualitude, c’est d’avoir l’éventail des possibles à portée de strophes.
Par exemple :
.Une baleine d’avril,
Suspendue à un fil,
Baladait son sourire,
De Joconde Boréale.
.Un corbeau étonné,
Lui tint ce franc-parler.
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Votre allure estivale,
Sous la pluie n’est pas pire,
Que notre archi-duchesse,
Qui sèche et archi-sèche.
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😉
Me voici désignée « Captain Events », en ce quatrième mois de l’an de Grâce 2017.
Je vous propose donc de partir en croisière.
Voilier ? Bateau de pêche ? Cargo ? Paquebot ? Péniche ? Pirogue ? Canot pneumatique ? Brise-glaces ? Chalutier ?
Vous choisirez l’embarcation, vous l’imaginerez, vous la décorerez, la baptiserez… Vous daterez la traversée… Quand vous vous déciderez à lever l’encre (oui, quand même), vous déterminerez l’itinéraire et les escales : L’île des Lettres ? L’île des Mots, des maux, des morts ? L’île des Étrangers ? Les îles Glamour ? L’île d’Éros ? Ou bien ?
Une fois l’équipage constitué, vous embarquerez les passagers et vogue la galère !
Une narration à la première personne (lettres, journaux intimes, carnet de bord ou de voyage, etc).
Vous avez devant vous 22 jours de navigation (c'est-à-dire jusqu'au 23 avril),1 000 mots maximum pour conter cette expédition nautique,
Voir l’article original 21 mots de plus
Ma chère Jobougonitude, quelle joie de découvrir votre poésie en cette matinale journée dominicale qui s’ouvre, tel un horizon immaculé d’immaculitude, sur d’infinies possibilités alliant ainsi les probabilités pi-trois-quatorzièmes du nom. Je vous dis à très bientôt dans la joïtude de nous retrouver, naviguant de concert en la bémol mineur si possibilitude. Bien à vous.
Aaaahhh ma très chère Anne, je viens de statistiquer grâce à vous ces probabilités circonférentielles avec gratitude, car naviguer de concert avec vous sur la grand-mer des possibles me donne plus d’euphorie que le fil à linge à retordre sur lequel l’archi-duchesse sèche à l’encre de Chine.
Je vous prie d’avoir latitude à recevoir mon amitié la plus exultante en matière de gondolatitude.
Bien à vous.
Et mille mercis pour votre élégance toute Louvainienne, j’admire toujours autant votre majestitude.
Sèche ou baleine, faut savoir 🙂
Ce qui me donne envie d’hésiter encore un peu, et pour une fois, je boirai plutôt que conduirai. Ce sera donc baleine, à n’en point douter.
🙂