Voilà !
Carnets paresseux l’a voulu, le voilà.
Noël ne fait pas de cadeau (8)
Bon, changement de programme : jo, tu auras les mêmes cadeaux que les autres dans le billet du 25 décembre, mais voici en avance ton lot gagnant : c’est toi qui décides de la « contrainte » / du thème / de l’amorce, on appelle ça comme on veut, d’un des billets du mois de janvier que j’aurais le plaisir de tricoter en conséquence.
à toi de dire, donc !
Dacodac ! Je vais y penser ! Et monter un premier rang impeccable, pour qu’après, tu y tricotes tout le désordre impeccable que tu auras envie d’y voir. D’ailleurs, me vient soudain déjà une idée… Une petite mise en forme au traitement textuel et je t’adresse ma consigne d’écriture d’ici quelques jours.
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Mon premier rang de tricot
Le Paradis est complet, revenez plus tard, lorsqu’il y aura une place disponible.
Voilà, c’est arrivé !
Vous êtes mort.
Si si, vous avez bien lu, vous êtes mort.
Enfin, je veux dire, vous venez juste de mourir, et vous arrivez peut-être tout juste aussi à en prendre conscience.
Tranquillement, les portes du paradis se présentent à votre vue, vous êtes reçus à l’accueil et là …
Le paradis est complet !
Vous allez devoir faire assaut d’arguments pour rentrer quand même, et de plus, la consigne se complique d’un petit rien puisque vous allez devoir aussi vous glisser dans la peau de l’autre sexe pour soutenir votre argumentation.
Non mais, qui a dit qu’écrire était facile ?
Et en plus, qui a dit que pour rentrer au paradis c’était facile non plus ?
Le Paradis, ma foi ! Ça se mérite, alors bon travail d’écriture, ironisez, prenez d’assaut, montez au créneau, faites comme bon vous semble et réussissez à gagner une place au sein des créatures célestes et merveilleuses qui crèchent au paradis.
le Paradis, c’est cette boite super select des Champs-Elysées où tout le monde veut rentrer mais où seules les starlettes rentrent ?
🙂
Jo, j’ai bien prévu un petit truc mais le temps qu’il mijote janvier aura pris du galon…
Mince ! Je viens de relire les commentaires et… Je n’ai pas encore réponduuuuu au tien ??? !!! Mais où donc ai-je miiiiiis ma tête ? Euh… Je m’en vais réparer ça illico immédiatement.
Mais mais mais… Je constate que ça mijote encore et on est déjà février ! Combien de mètres de galon faut-il pour entrer dans la boite super select des champs-Elysées quand on est un dodo ? Et combien de temps faut-il à l’encre du clavier pour se fixer ?
Un certain temps, auraient répondu les écrans.
😀
oups, je me disais bien que j’avais pas encore écrit la note promise… ou alors, dans la Revue des deux Sarthes ?
🙂
Seigneur Marie Josèphe ! Jo mais tu nous demandes un texte transgenre en plus ! 😆 Ho misère, bon courage le Dodo !!! 😀
Merci messieurs dames, merci ! Mais je ne commenterai qu’en présence de mon avocat, si vous le voulez bien.
😀
[…] « Le Paradis est complet, revenez plus tard, lorsqu’il y aura une place disponible. […]
C’est complet ! 😃
Je reste ici … Je suis bien aussi
Merci pour ce texte très frais
Mais oui ! Bonne idée ! 😀
Ici c’est le présent, le futur, qui le sait ?
Merci Fred, je vais installer des tables, des chaises, des transats, des auvents et des parasols pour les visiteurs qui veulent rester un peu à l’entrée.
je passe juste pour dire que j’ai pas lâché l’affaire, je prépare un petit conte pour jeudi 🙂
et voilà, le cadeau s’ouvrira demain matin à 01 h23 🙂
http://wp.me/p3i9co-2qm
Merci Carnetparesseux, pour ce magnifique aiguillon de curiosité !
Bon sang, c’est l’heure où j’ai rendez-vous avec un REM. (Rapid Eye Movement) !!!
Je me demandais si je pouvais différer l’ouverture de l’emballage papier de quelques heures.
😉
Ou alors j’avance le déballage avant le rem ?
bon, mine de rien j’ai eu du mal… le paradis, c’est pas trop mon domaine 🙂
[…] Jobougon avait gagné une histoire de son choix et m’a proposé un thème : « le paradis ? c’est complet« . Paresseux et cumulard, j’ai raccroché l’affaire au jeudi-poésie […]
Ben mince alors, qu’est-ce que je suis en retard comme le chat du. Je découvre ce challenge dans les commentaires du dodo faisant suite au tien (tu l’auras). On s’en tire comment ?