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Elle ouvre les serrures en biais,
Ne vit pas que en cabinets,
Elle est le trésor des zumours,
Quand elle rit même de son tambour.
Décalée sur son quant à soi,
Elle lorgne les jeux de l’aloi,
Perchée sur un chat de gouttières,
Aussi beau que des réverbères.
Assurément elle y voit goutte,
Quand le gouvernail et la joute,
Répond avec une balle au bond,
Elle finit pliée pour de bon.
La clef de travers n’est gosier,
Que pour l’illusoire et l’épée,
Car elle ne vient à traverser,
Que le diaphragme et le hoquet.
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J’aime j’aime j’aime ce trousseau de clefs ❤
C’est rure !!… Euh ?… C’est sûr !
Oui-Oui, Martine, c’est un jeu de clefs un peu « original », je vais dire… 😉
« Original » étant un mot qui compte double dans le langage que nous partageons ma fille et moi, c’est dire…
Merci d’apprécier en venant cliquer sur j’aime et en le formulant ainsi. Non pas que cela flatte mon ego, mais bien plutôt que mon ego s’en trouve flatté.
Rhhhôôô ! Encore ce foutu style ésotérique qui me rattrape toujours un peu !
Bises bises bises 😀
Le jeu de serrure viendra peut-être plus tard… Merci patte à l’humour d’encrier !