Août est arrivé !!! Ouh là là ! C’est clair qu’on va le sentir passer !!! Une telle consigne, c’est du casse tête en puissance inconnue. Mais après tout, pourquoi ne pas s’y mesurer ? Que les WordPressiens se jettent sur leur clavier, et que la rigolade ressorte victorieuse.
Vive l’ironie Aoûtien chez Martine, et tous mes remerciements pour cette idée gigantesquement loufoque mais grandiose.
Sortons des starting-blocks.
A vos marques, prêts, partez !C’est ici : https://ecriturbulente.com/2016/08/01/laoutage-de-lagenda-ironique/
Au pays des Points Cardinaux, le paisible petit peuple des Minuscules est retenu en otage par l’arrogant peuple des Majuscules. Son minuterritoire est cerné, de toutes parts par ESON, le chef du majuterritoire : il a placé en faction, à tous les points de fuite – à l’est, au sud, à l’ouest, au nord -, ses redoutables et impitoyables lieutenants, malabars homologues des Tom-pouces. Pourtant les Minuscules vont réussir à s’échapper de cette géhenne en empruntant des directions détournées : ensemble, ils ont composé un récit qui a convaincu ESON de leur rendre la liberté.
Comment y sont-ils parvenus ?
Nous devrons reconstituer ce récit (cohérent et persuasif), en vingt-six phrases, pas une de plus, pas une de moins. Chaque phrase commencera par chacune des lettres de l’alphabet, dans l’ordre abécédaire. Elle indiquera aussi la direction empruntée par l’audacieux minuscule. Et, voici que ça se corse, selon le principe OuLiPien lipogrammien (1), cette même…
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Tu es la seule que j’ai lue au mois de juillet. Je suis en retard, en retard dit la lapine. Merci Jo… Mais je ne suis même pas sûre de ne pas l’être en août. Mais je pense bien à mes amis de blog néanmoins.
– Oh beh zut, je ne t’ai même pas répondu ! Mais où donc ai-je la tête ?
– Dans le terrier, répondit le lapin blanc, mais tu peux revenir dans ton monde, et le pays des merveilles te remercie de ta visite, ainsi que le chapelier fou et la reine de cœur, maintenant, tu as une amie, une lapine en retard, elle pense à ses amis blogueurs, et toi, tu penses aussi bien à elle, n’aies crainte de lui dire combien tu apprécies ses visites.
– C’est que vois-tu, Anne, j’apprécie tellement tes visites. Alors je vais sortir la tête de mon terrier.
[…] p’tit délire de vacances avec la consigne de Martine mais sans appliquer la règle de la disparition […]