Exercice de rencontre en deux dimensions
21 mars 2016 par jobougon
Imaginons un point « A » situé dans l’espace. Puis un point « B » situé dans le temps.
Publié dans Chance, Créativité, Douceur de vivre, Gazouillis, Glop, Histoires de vie, Joie d'aimer, Les pensées de jobougon, Voyage | 15 commentaires
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Le jardin d’abbé pour commencer une route qui mène du point Q au point R, donnant ainsi une dimension curé à leur histoire d’R ? Une bien belle historiette physico-mathématico-existentielo romantique…
Q comme Suzie, on connaissait Wan la sœur de son frère, une histoire de plein R comme je les aime, quoi. Avec du dénivelé, de l’endurance et tout et tout. 🙂
je t’avais fait un long commentaire, mais non : le lundi n’est pas mon jour géométrique !
Ce qui n’empêche que ton texte est plaisant !
Moi c’est la géométrie du mercredi qui penche vers le littéraire sans prétention à la littérature d’ailleurs. 😉
A B ça alors !
AB ! Mon prof prétend que j’ai encore du travail à faire avant de mériter un A, il doit avoir raison, mais j’ai la flemme paresseuse, et personne sur qui copier. 😉
On pourrait ouvrir cette relation dans mon jardin aussi?
Que voilà une bonne idée ! On pourrait faire un rassemblement d’internautes écrivants au passage, ce serait l’occasion de faire connaissance dans la vraie vie.
Je me pose souvent la question : est-ce que ça vaudrait la peine ou pas de se rencontrer dans la vraie vie ? Car tout de même, on est dans l’imaginaire à plein nez. On s’imagine comment sont les autres, barbus ou pas, gros ou maigres, noirs ou blonds, à pois ou à carreaux. C’est assez drôle de ne rien connaitre de l’autre tout en s’en sentant (à dire 10 fois) très proche. C’est bizarre comme sensation.
Je me pose la même question, Anne, mais je pense que ce serait une bonne idée. Nous avons un plateau commun suffisamment fourni pour en rire jusqu’au bout de la nuit. Et puis ce serait un sacré challenge que de le réaliser. Concrètement, ça demanderait une organisation hors du commun, et l’occasion d’écrire ensemble pourquoi pas.
Vu comme ça, avec bouteilles de pinard, grosse bouffe, un coin sympa avec vue sur mer, six larbins pour nous servir, deux pour nous border, atelier d’écriture l’après-midi. Je m’y vois déjà… STOP… J’arrête immédiatement de gamberger comme ça : c’est que je pars vite en roue libre.
Tu vois, rien que d’en parler ! Tu as le mode d’emploi, tout le monde a des idées, reste plus qu’à organiser la croisière pour qu’elle s’amuse.
Il me semble qu’on peut établir la relation générale suivante:
f(AB)=A/T
pour laquelle A représente un point dans l’espace et T, Le temps.
Pour T=0, c’est à dire, ce que j’appellerai » le présent instantané « , le temps d’un battement de cil, on déduit que AB=A/0, d’où, produit des moyens par les extrêmes:
AB/A =0 et si AB croît, A décroît, et réciproquement.
Comme nous manions les syllogismes et non pas les mathématiques, auxquelles j’ai renoncé à comprendre quoi que ce soit, il me semble, et bien que des points n’aient pas de dimensions spatiales, et seulement des coordonnées dans un espace euclidien, il paraît que si on ne veut pas que AB ait la dimension, disons du parc de Versailles, et toi même la taille du ciron cher à nos Philosophes des Lumières, ou, inversement, que tu sois tellement grossie, ce qui ne te siéra pas, qu’un seul de tes cils, celui de tout à l’heure, envahisse tout mon champ visuel, j’en conclurai que quand nous nous retrouverons en AB, quand ce sera écrit dans le Grand Rouleau de Jacques le Fataliste, si cela ne l’est déjà, il nous faudra avoir tordu la logique, ce qui lui fera émettre un bien beau son, mi violon, mi orgue de barbarie…
Si f(0)=0, rien ne bouge, ça fait du surplace. Or, T qui égale 0 est en constante progression. Ce qui équivaut à dire que ce 0 ne l’est jamais vraiment, et contient dans son essence une parcelle d’infinis ( Ω ) qui permettent bien des possibles à la vie tant qu’elle est encore là.
Après, j’introduirai le facteur choix ( C ), qui va orienter l’ensemble du processus algébrique du côté où il a envie de pencher.
D’où AB=f(C)/Ω
Donc, si je suis bien, C, le bon choix qui n’aurait lieu qu’un fois, donnerai 1/infini ce qui est mathématiquement impossible, donc, il se peut que nous nous trompions toujours…Diable!!!