Pas de publicité pour le groignificat, le bonbon la pie qui chante le plus classique qui soit, avec son feuilleté prâliné mou et son enrobage de caramel dur.
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Elle chante en noir et blanc,
Avec des reflets bleus-argent,
Glaciale en menthe poivrée,
Sur pics d’icebergs gelés,
Et puis en régalade,
Le caramel de ruade,
Pie qui chante Al Canto,
Sous les zèles des préaux.
L’écrit papier froissé,
Ne cesse de se déployer,
Mais sans publicité,
Pour le bonbon aimé.
Il faut nous en dire plus sur le caramel de ruade …. 🙂
Il est à multiples facettes, s’adapte aux besoins, peut tout aussi bien galoper ensuite crinière au vent qu’envoyer des coups de sabots en cas de nécessité, ce caramel là est l’outil passe partout qui donne le meilleur de lui-même comme le pire, en fonction de la situation. Dans l’affaire de la patte dans le clapier, j’avoue l’avoir utilisé dans un registre dont je préfère me passer. Un agneau qui bêle à la bergerie, ça arrache toujours un peu le cœur.
Chez moi, les pies ne chantent pas, elles jacassent.
Je n’ai vraiment pas de bol…
Ah mais quelle bande de pipelettes ces jacassieuses ! Elles sont moqueuses, en plus !
Je compatis de tout mon cœur.