– La saloooope !
– Quoi ?
– Il manque une page à mon cahier rose ! Je lui avais pourtant dit, et même l’avais écrit en première page en ces termes.
« Ce cahier rose est bien à moi,
Si jamais tu y mets les doigts,
Tu prendras les miens sur ton nez,
Après, tu viendras pas pleurer. »
– Mais de qui tu parles, ma Rose ?
– Fais pas ton ignorant de base, Gustave. Je te parle de Melle Tirma, elle arrive encore à nous surprendre, celle-là, avec ses travers à la Dingo. J’envoie la sauce.
– Ah non ! Surtout pas !
– Trop tard.
Mon cahier rose
15 septembre 2015 par jobougon
L'impermanence n'est pas un rêve 
C’est bien fait ! là !
N’abusez pas non plus !
😉
Il semble qu’une minuscule faut e de frappe ait perturbé ma compréhension : »tu prendras les miens sur mon nez ? »
Bien vu ! C’est en effet « tu prendras les miens sur ton nez ». Je rectifie. Merci chacha, je ne relis jamais assez mes textes. 🙂
Bah je pensais vraiment que c’était un effet que je ne comprenais pas. 😉
Non, cette fois, c’était bien une faute d’inattention. Promis, juré, craché !
Quelle production! J’ai du mal à suivre…
Je comprends, mais me connaissant, le froid arrivant, un ralentissement voire même un arrêt est à prévoir prochainement. On verra bien.
Tu peux garder en vie melle Tirma… pour l’étudier expérimentalement scientifiquement parlant…
Je ne suis pas sûre qu’elle soit cadrable, mais on peut toujours essayer. 🙂
[…] laque se recouvre de cygnes comme un tableau de Picagritte. Je ne regrette pas de dire que la grille a la lettre prête, et que, dépassée par la rouille du cobalt, elle ne rend plus les faits aussi […]