Je vais galopouiller dans l’encrier,
Vous me direz, c’est pas nouveau !
Je vais m’entortiller dans l’oreiller,
Vous allez vous moquer de moi.
Je surenchérirai un peu,
Vous traverserez mes frontières.
Je chuchoterai tout à trac,
Vous subliminez mes attaques.
Je vous tirerai les oreilles,
Vous crierez que c’est pas pareil.
Aime le son de belle ivresse,
Aime l’écho de toutes les vagues,
Car aucune raison n’est à l’œuvre,
Car c’est un constat simple et frais.
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Galopouillades (quand il jette aux oubliettes son ail)
11 septembre 2015 par jobougon
Et au trot qu’elle entendit, traverse le pont, bel Hardy ! Franchissons les frontières qui fuient la raison sans barrières.
Il est bon parfois de déposer le fardeau et de galoper sans les rênes, les mors et les selles. Quand mon encre s’épuise, il me reste l’introspection. Je la sens arriver un peu. Mais je ne m’affolerai pas trop cette fois-ci.
Galopouillons de conserve alors 🙂
Conservouillons la galopouille en grande conservation. 😀
L’important, c’est d’écrivouiller, n’est-ce pas?
Oui, et de pas se prendre la choux… 😀 Au diable le sérieux des c du c… Ils en reviennent toujours.