Le virus de la déviance
Pas d’abandon poussin,
La ouatié du chemin,
N’est pas la fin.
Ce que l’on cherche n’est pas toujours là où nous cherchons. C’est lorsqu’on le trouve que l’on s’en rend compte.
Maintenant que la porte est ouverte,
Au bourgeon de la poésie,
Que la prose qui s’est découverte,
Luit dans un rayon de magie,
Recueille ses perles de rosée,
C’est un breuvage bienfaisant,
Qui te conduira à plus grand,
Que tu ne l’as imaginé.
Pense à ceux qui t’ont protégé,
En te montrant la direction,
Et continue de travailler,
Et de te poser des questions.
Si d’aventure sur ton chemin,
Tu reçois une bénédiction,
N’en fait aucune vénération,
Mais reconnais-y ton prochain.
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