J’ai passé à la moulinette,
Toutes mes ruminations inquiètes.
Au batteur à œuf toutes mes peurs,
Mais l’écumoire de la tempête,
Appréhende encore les défaites,
Et ses vents agitent les casse-tête,
Du fond d’un passé antérieur,
Dans la marmite où la vapeur,
Chuchote encore quelques tristesses.
Alors dans un moule à manqué,
J’ai versé la pâte à détresse,
Pour cuire au four de la sagesse,
Le gâteau de prospérité,
Qui finira par se goûter.
La minute casserole
26 mars 2015 par jobougon
Un très beau texte et si le gâteau est aussi bon sur qu’il sera dégusté de bon appétit !
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