J’irai me pendre à la jointure,
De la lumière de ses murmures,
Dans le canon d’un ciel lucide,
Qui sait garder un cœur candide.
J’irai, liée au fil de fée,
Balader son immensité,
M’abreuver des gouttes d’étoiles
Qui sont semées sous les rafales.
Attachée à suivre à la ligne,
Le trait de l’onde à l’origine,
J’irai me pendre à son octave,
Au dernier degré de l’entrave.
Autant suspendre à ses rayons,
Les plus beaux rêves de déraison,
Dans le croissant des songes d’or,
D’une lune aux reflets d’aurore.
Il y a peut-être une méprise
Sur l’idée « j’irai me pendre »
« Méprendre » mieux « m’étendre »
Rime mais change l’entreprise
Je vous souhaite une bonne année 2015!
Amitiés Voda
Merci Voda.
Non, non, c’est bien me pendre que j’écris, sans m’étendre sur la question, c’est absolument sans méprise, ne vous y méprenez pas.
Très bonne année 2015 à vous aussi, avec toute mon amitié.
Jocelyne
C’est un très joli poème, riche d’images originales !
Je vous souhaite une très bonne année !
Un grand merci à vous, Marie-Anne. Que cette année soit pour vous aussi pleine de belles découvertes.
L’opéra de Sydney ne se désemplira pas.
Amitiés, Jocelyne
Un texte superbe qui chante une douce » musique a mes oreilles : du rêve
A reblogué ceci sur Espace perso de georgeset a ajouté:
Un texte superbe qui chante une douce » musique a mes oreilles : du rêve