Là où s’inscrivent les poèmes,
J’y vois une lune qui se promène,
Sur l’étendue d’une galaxie,
A la recherche de l’infini.
Elle s’enroule de son aura blême,
Dans ses reflets d’astre suprême,
Distillateur de cette vie,
Aussi ténue qu’indéfinie.
Parmi les vagues insouciantes,
Elle surfe à dos d’encres tonnantes,
Et son croissant blanc nous entraîne,
Aussi loin qu’un vent porte une graine,
Qui s’enracine où elle s’implante.
Le prix à payer du voyage,
N’est jamais qu’un goût du partage,
Aux clairs obscurs des éclairages,
Qui flottent au gré de ses envies.
L’écran noir du ciel de la nuit,
Projette l’écume d’une lune blême,
Sur la vague où elle se promène,
Dans le voyage en galaxie,
Parmi les étoiles insouciantes,
Jusqu’aux confins d’un paradis,
Aux rimes claires tourbillonnantes.
Mon cinéma
13 octobre 2014 par jobougon
Bonsoir Jocelyne
Un texte superbe , très bien écrit ; La poésie , permet le rêve , permet aussi au bonheur d’exister au travers de la rêverie des mots et redonne du baume au coeur
Bonne et douce nuit Bisous et amitié
A reblogué ceci sur Espace perso de georgeset a ajouté:
Bonsoir Jocelyne
Un texte superbe , très bien écrit ; La poésie , permet le rêve , permet aussi au bonheur d’exister au travers de la rêverie des mots et redonne du baume au coeur
Bonne et douce nuit Bisous et amitié
J’adore les poèmes , ;-)très jolie 🙂 amitié
Merci à tous deux.
Amitié également.
comme le pollen emmené,
là-bas dans le pré.
nos sentiments qui naviguent,
entre peur, joie et paix.
cicatrices de pluies,
instincts poussees vers minuit
par la coulée de love
l’antre de jo devient le bar des amis
Merci Lola, et bienvenue au bistrot des amis, où navigue entre deux cafés autant de joie que le vent pousse dans la graine fertile de la paix.
<3<3<3
Au café des amis,
J’approche une chaise à Lola,
Ravie de la revoir ici.
« C’est de bonne graine », dit-elle tout bas.
Le sentiment ici brillait,
De sa douce lueur amicale,
Lola s’y asseyait en paix,
Pour boire le café convivial.
du coeur de l’obscur
à la caresse de sa page
nos lettres passe murailles
s’échouent tel bois en plage
cinglés de nos armures
mises sous nos doigts vermeil
nos ecrits vers pere noel
du creuset coule notre azur
entre haut fond et refrains
la mise en ronde de nos phrases
blessant encore nos deux mains
de mille et unes ratures
..ton café fait toujours effet
surement de l équitable
Voyage avec la lune et les étoiles …
Magique 🙂