Chaque jour traverse un paysage,
Oasis déserts ou mirages,
Et puis une plaine ensoleillée,
Surprend parfois le voyageur,
Un jour où l’espoir n’a plus peur,
De réinventer le sentier,
Et d’accéder à la forêt,
Où le voyage penche du côté,
Lumineux de l’apaisement,
Après un parcours éreintant.
Pourtant les arbres penchent doucement,
Rêvant encore de découvrir,
Des paysages, des avenirs,
Sans se douter que leurs tourments,
Aveuglent le frisson du vent,
Sous la caresse de sa quiétude.
Le voyage de l’instant présent,
Découvre encore la gratitude,
Dans l’immobilité du temps,
Et son infini paysage.
Quel que soit le voyage
30 septembre 2014 par jobougon
Bien sur , le rêve existe encore par l’écriture , on peut se construire encore un monde de bien être de rêve , se faire des illusions sur la vie
A reblogué ceci sur Espace perso de georgeset a ajouté:
Bien sur , le rêve existe encore par l’écriture , on peut se construire encore un monde de bien être de rêve , se faire des illusions sur la vie
quel que soit le voyage, quel que soit le navire.
ou qu aille le vent et sans numerer les jours.
un coeur hors de la mémoire,un écrit sur des ames en fleur;
sa main pour sentier, j’ai coupé à travers.
des pages blanches à touches noire.
et des murs sombre taillés aux couleurs.
lol a
.