Une affiche de janvier,
Décollait la rumeur,
Qui semait la terreur,
Dans un pénitencier.
Sans prendre de pincettes,
Une paire de lunettes,
Jaugeait les apparences,
Sans y trouver de sens.
L’excès de vanité,
N’est jamais une fierté,
Et l’orgueil déplacé,
Nuit à la qualité.
Une affiche de janvier,
Décollait la stupeur,
Des murs qui l’enfermaient,
Dans un mépris majeur.
Cette affiche a fait le travail pour lequel elle a été créée , a savoir semé la terreur , ! Les badauds qui la lisent s’éloigne du lieux au plus vite par peur de ce qu’elle annonce : mission accomplie !
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Cette affiche a fait le travail pour lequel elle a été créée , a savoir semé la terreur , ! Les badauds qui la lisent s’éloigne du lieux au plus vite par peur de ce qu’elle annonce : mission accomplie !
la violence des murs
la division de l étre entre les portes du crincrin.
les violons du pénitencier dans la multiplication des pains.
cellule traversée de soupirs ou une mémoire dans l’écho
siffle à toute branche et en chaque refrain.
♥
Sans barreaux aux fenêtres,
Sans lourdes portes closes,
La prison n’est à l’être,
Que son rapport aux choses…
Sans beurre à découper,
Son fil à relier,
La motte démoulée,
En laisse tomber ses clefs.
Bras et bouches sont bées,
Où flèche au cœur percé,
Observe cette affiche,
Tirant sur la barbiche,
Du drôle de baromètre,
Que cette prison de l’être.
❤