La poésie rouge de l’automne,
Frissonne,
Là où la vigne s’abandonne.
Elle offre ses raisins sucrés,
Que les hommes foulent de leurs pieds,
Ivres d’ivresses à venir.
Le jus doré coule à rougir,
Les arômes que son air fredonne,
Comme un parfum qui se moissonne,
Remplit les tonneaux de l’année,
Et les vendanges empourprées,
Entonnent,
La chanson du raisin pressé,
D’aller combler les panses pleines,
Des vendanges de l’année prochaine.
Vendanges pourpres
24 septembre 2014 par jobougon
Une pensée particulière pour Bacchus, de pampres couronné….
Un magnifique texte pour les vendangeurs et la vendange , très coloré ! D’accord aussi avec le commentaire de manh14
A reblogué ceci sur Espace perso de georgeset a ajouté:
Un magnifique texte pour les vendangeurs et la vendange , très coloré ! D’accord aussi avec le commentaire de manh14
Ah ! Bacchus et sa force de vie ! Un bel hommage, merci à tous deux.