En pèlerinage vers le passé,
Le merlu est éberlué,
Par les graffitis dispersés,
Sur les poteaux indicateurs.
Guides étincelles de la pupille,
Ont tissé des tours protecteurs,
Sur le cocon et la chenille,
Pour que la mue soit retenue,
Dans des messages imprévus,
Que le papillon de hasard,
A découvert sous le regard.
D’un lépidoptère inconnu.
Il décoiffe le cocon cousu,
Pour que l’imago soit complet,
En s’envolant dès qu’il est prêt.
Les inscriptions sur les colonnes,
Laissent au merlu qui en frissonne,
Comme un goût de miel à venir,
En découvrant que le plaisir,
Vient greffer des bourgeons d’entrain,
Dans les ouvrages de son dessein.
La berlue du merlu
12 août 2014 par jobougon
Bonjour Jocelyne
Un texte gaie et entrainant qui fait oublier les affres de la vie
Bonne et douce journée Bisous et amitié
A reblogué ceci sur Espace perso de georges.