C’est un peu comme un éléphant,
Avec une mémoire de géant,
Qui trace un chemin dans l’histoire,
Pour éclairer ses accessoires.
Un peu comme un spectre du temps,
Qui s’enracine aux fleurs des camps,
Et fait pousser dans les sous-sols,
Une fois encore une idée folle.
Cette fois la chute n’aura pas lieux,
Le chat botté est suspicieux,
Et la nuit défait ses lacets,
Pour ne pas manquer de respect.
Relents soufrés de liturgie,
Méritent bien que je sourie,
Sa chanson m’est par trop connue,
Et je décline ce qui me tue.
Si son piquant est épicé,
L’œil impertinent du passé,
Qui aiguillonne sans traverser,
Peut bien aller se rhabiller.
L’œil impertinent qui m’aiguille
30 juillet 2014 par jobougon
J’adore « la nuit défait ses lacets »….Bottines ou guêpière ? Beaux rêves…
Hervé
Ahh ! Le mystère restera donc entier…
Rêves d’azur Herculéens, moi je dis, ça vaut son pesant d’or, en trésor…
Très bonne soirée, et mille bisous amicaux.
Bonjour Jocelyne
C’est drôle et plein d’humour : J’adore
bonne journée bisous et amitié
A reblogué ceci sur Espace perso de georgeset a ajouté:
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