Un crabe au crâne craquelé,
Se cramponnait à une cravache,
Avec l’un air craintif et bravache,
D’une crapule crachant un crapaud.
Un crabe qui cracherait un crapaud,
Sur une croix criblée de couteaux,
C’est pas chrétien et de surcroît,
C’est crâneur mais ça croasse pas.
C’est comme une critique de crétin,
Qui fait d’une croisade un destin.
Dieu créa toutes les créatures,
Sans craies ni sans caricatures.
J’ai décroisé les pattes du crabe,
Son cri déchire toutes les syllabes,
En croissantes récriminations,
Face à leurs points d’exclamation !
Du cran pour vaincre l’esclavage !
Le crime avait ses avantages,
Crever du crochet le déni,
Crucifie toutes ses tromperies.
C’est « crinçant » et parfait… j’aime beaucoup ! 😉
Oh ! Merci ! J’ai creusé l’allitération dans la crispation et c’est sorti tout cru de mon crayon.
Cela ne pouvait être qu’un rien crinçant…
Je ne sais pas ce que tu creuses mais le résultat est là, tu es très « pointue » !!! 😆 Et en verve en ce moment ! J’aime beaucoup ce que tu écris, je ne commente pas toujours mais je LIS TOUT !!! 😀
Je creuse du croustillant sans craindre d’être en décrue, pour qu’une crevasse s’écroule !
Mon stylo pointu te remercie, Asphodèle,
Un texte très acide contre la connerie des hommes . C’est superbe
…
Merci Georges, la corrosion fait son travail !
A reblogué ceci sur Espace perso de georgeset a ajouté:
Un texte très acide contre la connerie des hommes . C’est superbe