Sii vous aviiez le dard, moi j’aurais la manière,
Si vous étiez une gare, moi j’aurais les bannières.
Je n’avais d’autres choix que répandre le sel,
Sur les glacis de bois pour qu’il vienne à l’appel.
Il avait la limace pour unique trésor,
Et il fermait ses bras en s’étonnant encore.
Les carapaces rouges lui donnaient une allure,
Qu’il ne savait pas touches sous l’angle de l’azur.
Il avait de ses âges compâssé les compas,
Les comparses de joie, les clignotants dégâts.
La lune tissait de l’or sous le voile de ses jupes,
Et gardait du cyclope la césure d’une tulipe,
En boissons d’orangeade elle allait vers les dupes,
Stupides et trop grognons n’y ont cure sous la fripe.
Ainsi ils allaient tendre les mains nouées aux creux,
Vers l’archétype à rendre jaloux tous les grands cieux,
J’avais mal au menton tant mes dents me lançaient,
De funestes leçons sans jamais décorer,
Les murs de la maison, de papier ou de soie,
Et j’avoue ce panier me permettait à moi,
De lisser toutes mes plumes et de faire la grand roue,
Comme un serpent à plume, comme un chameau debout.
Un chapeau haut-de-forme traversait les frontières,
Sans jamais que difformes ils aillent sous les paupières,
Troubler les grands étangs, les grenouilles d’un père chu,
Ni même la grande étoile qui baillait sous les fûts.
Le dard et la manière, certes, n’étaient pas très chauds,
Pour venir dans l’ornière tant l’air n’avait de pot,
A refaire mijoter une grande soupe dorée,
En cape et crocs d’épée, en poils tout mordorés.
Si la dernière Madeleine n’existait pas, quantité de choses ne seraient jamais faites
16 février 2013 par jobougon
Il est bien forcé pour comprendre de donner quelques explications , ce n’est pas être Madeleine ; si vous étiez des bannières je suis sur que vous seriez celle de la grande justice et de l’amour , le vrai brandit hautes et fières
merci de nous donner de si belles lectures