Petit pas pour l’homme, grand pour l’éternité,
La sourde orange se meurt sur un bout de papier.
La dimension sincère venait de décoller,
Dans l’écorce de Terre que l’ange aurait sondé.
L’homme et l’humanité faisaient de grands progrès,
L’essence verte des fées venait juste d’avancer,
Et les trésors des panses pouvaient se remâcher,
Grâce à toute la confiance que ses sœurs lui donnaient.
La sourde orange enrage, d’avoir si peu bossé,
Comment ce sourd dressage avait-il de défauts,
Et sous son air bizarre elle faisait du préau,
Le lieu de l’étendard pour tâter ce fléau.
La sourde orange
16 février 2013 par jobougon
Un texte très juste et très bien écrit