Dans les feux incendiaires de l’horizon
Brûlent encore les papillons
On dirait comme des illusions
Qui dansent aux feux des floraisons
La présence d’hier remarquable
Devenue inimaginable
Redessinait dans les sous-bois
Quelques idées si incroyables
Que le chant nouveau de la foi
Frottait ses ailes sur le renvoi
Dénoué sur un air notable
Dépourvu d’un je-ne-sais quoi
Pourvu d’un trop plein raisonnable
Colorant les ailes d’autrefois
Mais l’horizon est incendiaire
Sous l’alinéa subsidiaire
Croire à l’être telle est la question
Quand nulle clef n’ouvre la prison
Du trait de considération
La fontaine se fera jouvence
Pour peu que l’art de la nuance
Colore le sable de sa mouvance
Où nos pas résonnent en silence
Sous l’horizon qui s’embrasait
Dans le sous-bois de nos secrets.
inimaginable ?
Vos poésies sont de plus en plus belles . ce texte donne des frissons à sa lecture ; Pourquoi ? je ne saurais le dire
Cher Georges,
Vos commentaires m’honorent. Je ne sais si mes poésies se font de plus en plus belles mais ce que je sais, c’est que mon plaisir à les écrire m’est toujours aussi cher. Aussi inimaginable soit-il. Je vous remercie de ces mots touchants.
Bisous et amitié
Bonne et douce journée
de jolis mots pleins de couleurs