Il nous appartient de retrouver sans cesse le chemin
Qui n’est jamais que celui qui nous conduit à nous-mêmes
Je me perds si souvent à me lâcher la main
A me tromper sans cesse que quand vient un poème
C’est un fil qui me guide me tire et me ramène
Là où s’est décousu le semblant pour que vienne
En intime sensation ou unité discrète
Comme la traduction d’un retour de phonème
Cette présence si douce de cet autre à moi-même
Qui me chante à l’oreille que des yeux de bohème
Sont encore à me suivre d’aussi loin que m’égarent
Mes sinuosités d’exploration des phares
De toute une existence vouée à l’aventure
Dans la curiosité pour que nulle imposture
Ne gouverne ce chemin et pourtant je l’assure
L’erreur n’était pas celle que voulait ma blessure.
Le poète tâtonne aussi dans l’énigme
1 octobre 2012 par jobougon
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Merci de ton passage.
Jocelyne
Bonsoir Jocelyne
Le poète ne veut jamais l’imposture , mais juste essayer de redonner un peu de joie et d’espérance . La poésie est un art de bonheur , de joie et ne parle que de sentiments que l’on voudrait voir éclore comme un feu d’artifice de douceur et de bonheur pour tous
bonne et douce nuit
Bisous et amitié