Puisque l’incroyable est en marche
Le verbe se cherche sans relâche
Mais si loin de l’ampleur voulue
D’imprécision toujours il tue
La force et la vitalité
Dans des volutes approchées
Les frontières sont aussi ailleurs
Prêtes à bondir des profondeurs
Qui demanderaient mille précautions
Pour ne pas briser l’émotion
Si la prudence est de rigueur
La simplicité n’a pas peur
De faire résonnance au blason
Laissant de côté l’ambition
La dirigeante autorité
Qui ne vise qu’à se rassurer
Ne rien attendre serait sans doute
En éviter toute la déroute
Mais il suffit de peu de chose
Pour que la différence dépose
Au creux de nos mains son offrande
Il suffit de croire aux guirlandes
Aux envahissements de nos landes
Qui se diffusent sans propagande
Sans sulfures et sans réprimandes
Dans l’envol de sa sarabande.
L’atout des limites
13 avril 2012 par jobougon
Bonjour Jocelyne
tout à fait d’accord avec ce très joli texte . il faut aussi savoir garder un coeur d’enfant pour éviter d’être comme les adultes , ne plus rien voir de ce qui est beau autour d’eux . Un enfant s’émerveille de tout , les adultes ne pensent que fric , boulot mais passent à côté d’un peu de rêve
bonne et douce journée
Bisous et amitié
Les entends-tu??? gazouiller.
Non! tu ne les entends pas?
Tu ne les as jamais entendu.
Mais dans quel monde vis-tu?
Bo
Pour l’instant c’est un chant de coq
Qui ergote en petite papote
Secouant le nez d’une gazouille
Qui n’a plus rien de la papouille
Sans en comprendre bien le sens
En reflets de vos impatiences
Je suggère une petite éclaircie
Si ce n’est pas trop malappris
De vous poser cette question
Pour en cerner toute l’intention.
De Jo à Bo
Clarifier l’air frais
d’un rayon de soleil
Voilà tout l’intèrêt
Bonne journée!
Un éclairage somme toute si lumineux
Qu’il offre à l’air frais vivifiant
L’occasion d’un sourire heureux
Un rayon de soleil vivant
Et je gage que le gazouilli
S’entend aussi loin que la vie.