Sa lumière aveuglante n’a gardé en mémoire
Que les fantômes blanchis aux reflets illusoires
Aucune trace de vie sur sa surface brillante
Là erre encore le souffle des regards avides
Des spectres aiguisés par les lames coupantes
Où les torches se consument dans des relents d’abside
Le voyage est austère augurant la débâcle
En ressortir indemne relèverait du miracle
Pourtant dans le sillage se dessineraient les pas
D’un illustre personnage guidé de son compas
Qui réussit dit-on à en sortir indemne
Doté qui sait peut-être d’une force herculéenne
Il revint du soleil sans même une seule brûlure
Avec pour seul bagage le poids de sa droiture.
Revenir d’aussi loin que le soleil
11 avril 2012 par jobougon
Bonjour Jocelyne
Pourquoi en serait t-il autrement ? Si un amour est vrai et sincère il ne brulera jamais celle ou celui qui l’éprouve car il est plus fort que tout , même à sa fin il restera tant de beux moments que la vie sera quand même rose
Bonne et douce journée
Bisous et amitié
L’illustre contenu
Qui semble répandu
Ne ressemblerait pas
A cet apostolat
D’une toute autre nature
Il touche à la voilure
Au rhum ou au tabac
En navire de combat.
Hissez Haut la Voilure , vers les Feux inconnus ,
L’Etoile Pourpre est en Vue , à des Années Nature ,
Sa Lumière d’Aventures , ne court pas l’Ombre des Rues ,
Elle Eclaire d’Autres Mues , En Visages Hors les Murs.
~
NéO~
~
Becs de l’Une 😉