Quel est donc ce bel équipage
Qui vient défendre dans l’usage
L’offrande des éclats d’écritures
Sans aucune trace de ratures
Courrez à vos crayons poètes
Dans chaque écrit se trouve une aide
Qu’il soient abrégés ou entiers
Tous les styles sont à conserver
D’eux nous ne gardons que le sens
Qui définit de belle essence
La portée des mots en naissance
Ceux qui expriment tout en nuance
Nous habitent et font délivrance
Détruisant les châteaux de cartes
Ces cartes des châteaux si fragiles
S’écroulent désormais inutiles
En place nette et en plans d’attaque
Nous érigeons sous d’autres formes
L’expression libre qui nous transforme
Venant faire hommage à tous ceux
Qui rencontrent le baptême du feu
En nous offrant de leur courage
La richesse de tous leurs langages.
L’offrande des plumes vives
26 février 2012 par jobougon
Bonjour Jocelyne
Je vous souhaite de continuer encore longtemps à écrire afin que nous puissions nous délecter de votre délicieuse écriture . elle nous fait rire , sourire , parfois même pleurer nous donnant mille et un bonheur
bonne et douce journée
bisous et amitié
Bonsoir Georges,
Je vais essayer, d’ailleurs je crois que j’aime trop ça pour m’arréter. Même si parfois l’envie de laisser le silence et la page blanche m’envahir, je craque toujours un peu la première.
Bonne et douce soirée
Bisous et amitié
A ne pas prendre d’Humeur Légère ,
Ces Trucs en Plumes méritent Chapeau ,
Le Fil des Mots étant Sincère ,
Tout en Lumières d’envies de Chateaux.
~
Les Douves de l’Une manquent pas d’Atours ,
Tout en Créneaux sous Vents Horaires ,
C’est en Contraires une Toile Chaque Jour ,
Neuves Poésies qu’elle Dépoussière.
~
NéO~
~
Becs sur le Pont 😉
Tout en contraires
Chaque jour suffit à sa toile
Suffit qu’elle dépoussière au poil
La châtelaine et son plumeau
Secouait jusqu’à son chapeau
Et le truc en plume cher NéO
L’aidait à construire ses châteaux
Car il lui servait de stylo
A faire son ménage à huis-clos
C’est du sérieux très cher monsieur
D’humeur légère et pas qu’un peu
Je vous en ferai voir encore
Si d’ici là ma mandragore
Me laisse encore quelques poussières
Sinon c’est cuit, c’est la misère
Plus de plumeaux et plus de pot
Plus d’écritures sous chapiteaux.
Bec mi-cui