Il a du silence le mystère
Le nébuleux du solitaire
Il hante ma pensée jour et nuit
Ne me laissant aucun répit
J’hésite encore à dévoiler
Ce désir qui le surprendrait
Saurais-je ouvrir notre légende
Pour qu’il vienne rejoindre ma Lande
Son imprécision naturelle
Serait pour moi providentielle
Mais le silence a son mystère
Et il continue à se taire
Si je rêve aussi de ses rêves
Je désire encore ses lointains
Et dans sa tendre parenthèse
J’ouvrirai l’or de nos matins.
Entre deux eaux
24 février 2012 par jobougon
Très émouvant et très beau
Et bien… Merci
A l’Hors deux Mains venant de Source ,
Entre deux Âges d’un Même Chemin ,
Veilleront à l’Une sous la Grande Ourse ,
Ayant Nature en Lignes de faim.
~
Les Landes de l’Hôte en un Eclair ,
Apparaissent Plaines de Légendes ,
Couvertes de Notes à la Lumière ,
Où l’Âme du Chêne aime se rendre.
~
NéO~
~
Becs sur Naturelle
Si l’âme du chêne vient à se rendre
Ou rendre l’âme c’est à surprendre
Je serais certes bien étonnée
De voir cet arbre un peu plié
Planté tout droit sans abdiquer
C’est le hêtre qui prendrait relais
A s’appuyer sur ses racines
Et de son chef d’un geste opine
L’érable en ferait du sirop
Le pin trouverait du boulot
Et sous l’avalanche du grand saule
Viendront chanter les rossignols.
D’aussi près que viennent les entendre
Les noyers n’iront plus nager
Et les baobabs du Pérou
Continueront à faire la roue.
😉