Quand j’ai mis en route la turbine
Partout ça partait en débine
J’avais pas trop compris pourquoi
Une avalanche de petits pois
Courait encore dans le grand bois
La petite maison des collines
N’avait pas encore j’imagine
Les rideaux pour grimper les jours
Radieux allant vers l’amour
C’est comme ça qu’il s’était barré
Devant la plus grande des fées
Pour avoir trouvé ça barjot
De s’enfermer dans des barreaux
Depuis la belle fait escampette
Sans même jouer qu’elle se la pète
Mais ses bulles d’air au dromadaire
Finirent par atteindre son enfer
Il s’agit maintenant d’aller voir
Si de malheurs en désespoirs
Chacun peut se convaincre alors
Qu’un tour est fini tout d’abord
Joseph Kessel me donne ses ailes
Pour emprisonner l’infidèle
Mais diable d’homme m’a précédée
Faisant à l’innocence penser
Alors que maîtres enchantés
N’auraient plus qu’à vouloir s’aimer
Le décor peut sembler aride
Et mon écriture perfide
Mais le défi du paradis
N’est pas de se sentir ainsi
Alors recevez mes hommages
Croyez vraiment qu’il est dommage
De ne pouvoir réaliser
Un si grand rêve en son entier.
« Sa magie
Barrée et Barjot font barreaux
28 septembre 2011 par jobougon
Ecrit sur le nid de la vie à la force de l’âme….
MioModus, véritable plaisir que de vous revoir en ce lieu.
Oui la vie nous en apprend un rayon lorsque l’on s’y frotte en surmontant ses peurs. Et puis certaines réminiscences qui n’en finissent pas de revenir travaillent encore en profondeur, dans le nid de la vie vécue, pour donner sa force à l’âme.
Merci de ton passage ici.
Bonsoir Jocelyne
Même sur un site aride avec la volonté de bonheur sincère on fini par se croire au paradis pourvu que l’amour soit sincère . une dame de 45 ans marié a un homme très riche mais qui était un despote est partie un beau jour avec un chômeur qui vivait dans une caravane. Voici ce qu’elle m’a dit un jour : Oui , j’avais l’argent ,belle maison, belle voiture , tout le confort , mais mon mari n’avais jamais un geste de tendresse , toujours a râler , ne pensais que actions , bourse ,argent , mais à moi jamais . En 25 ans de mariage il ne m’a jamais offert un bouquet de fleurs . Aujourd’hui , la vie est parfois difficile , mais Domi est d’une telle attention pour moi que je suis beaucoup plus heureuse qu’avec tout se fric . Dès qu’il le peut il m’achète une ou plusieurs roses mais je sais que c’est avec le coeur . Le bonheur ne tient qu’à peu de chose .
Comment expliquer que l’amour soit si souvent aussi peu durable ?
Partant de mes observations personnelles, soit il demande des concessions énormes et trop lourdes, soit il s’éffrite fatalement faute d’être alimenté de belle façon.
Le laisser venir lorsqu’il est là et savoir vivre heureux même seuls, règles d’or d’une vie épanouissante dans tous les cas. Mais quoiqu’il en soit, la plus grande prudence est de rigueur. La fragilité de l’être n’est plus à prouver si l’on veut garder sa sensibilité en bon état.
Les écrits sont une chose, les pensées une autre.
Restons romanciers dans l’écrit et fidèle à soi-même dans l’âme avec la belle touche de romantisme non affectée qui va avec toute vie portée par la partie divine de l’individu.
Vous qui vivez une grande histoire d’amour, vous avez je suppose une conscience aigüe de la chance dont vous bénéficiez .
Bisous et amitié Georges, et merci de ces mots réconfortants.