J’ai traversé tant de nuits noires
Parcouru tant de désespoirs
Que dans ma course échevelée
Je n’ai pas vu le ciel tomber
Et quand je pense à ces possibles
Qui pourraient bien s’épanouir
Je me dis que l’œil impassible
Fera son travail de désir
Alors je recule dans mon temple
Spectatrice de vie qui contemple
Tout en introduisant le la
J’attends que revienne la joie
Mais toi tu es tout le mystère
D’une union en laquelle j’espère
Et je te laisse faire ton chemin
Ignorante de ce qui demain
Viendra m’apporter sa corbeille
Peine de bonheurs et de merveilles
La nature n’aime pas être forcée
Il convient de la respecter.
Tu es l’espoir qui me secoue
23 août 2011 par jobougon
L'impermanence n'est pas un rêve 
Que ce texte est beau et comme il contient tant d’espoir d’un vrai bonheur
J’aime beaucoup…..très beau ! poétesse
amicalement gilles/lepoete71
Merci à ceux qui viennent me lire, à ceux qui aiment, à ceux qui me le disent.
Et puis merci aux autres qui peut-être n’aiment pas, mais se gardent bien de le montrer. L’expression de soi est sacrée et j’apprécie d’être respectée dans mes bonheurs, mes colères, mes emportements et mes excès parfois.
Ce que m’offrent ici ceux qui viennent est merveilleux. Chaleur d’être accompagnée, reçue et accueillie avec la plus grande bienveillance. C’est une richesse incomparable qui m’est offerte à travers vous.
Mes amitiés à tous