La colombe soyeuse
S’est approchée curieuse
Du portail de l’amour
De son pas de velours
Elle étrille ses plumes
Secoue la belle écume
Chantant son en dedans
La joie du firmament
Le havre était inscrit
A l’encre des maudits
Mais l’espace annoncé
Promettait ses secrets
La colombe veut savoir
Ce que cache cet espoir
Elle ouvre furtivement
Ses ailes et tranquillement
Quitte cet ancien monde
Qui n’est jamais qu’une tombe
Pour aller explorer
le meilleur sans regrets.
La colombe
28 juillet 2011 par jobougon
Voilà une colombe d’une grande intelligence et qui a une faim de découvrir un autre monde , mais je pense qu’avec une certaine expérience elle évitera de se bruler à nouveau les ailes
Suffit de ne pas s’approcher du feu.
D’avancer à son rythme.
Sans hâte, et sans oublier de rester dans la vie toujours.
Peut-être… Puisque l’on sait bien tous que l’on ne sait jamais.
Bonne et douce soirée Georges.
Bisous et amitié
Et de vol en migration, si la colombe – porteuse de messages – ne faisait que survoler, – c’est le cas de le dire – un monde matériel, ………………c’est vrai bousculé, heurté, mais qui ne connait pas que les dimanches et les pays imbéciles où jamais il ne pleut…
Bref si les vicissitudes, combats, et passages aléatoires, de l’espoir au noir, étaient ce qui fait en partie le charme de notre existence ?
Pourtant moi il me semble que je pourrais assez bien me passer du malheur.
Mais je ne sais pas encore si c’est entièrement accessible.
Bisous à toi aussi René.