C’est d’un langage épais et clair comme la fange
Qu’il vient nous raconter à travers ses mots denses
Tout ce qui le remue et qui l’habite aussi
Avec cette élégance et cette poésie
D’un langage surhumain où s’exprime l’émotion
Et puis au fond ce feu qui remue sa passion
Il a réinventé ses codes de directions
Moi c’est à me troubler qu’il a ma dévotion
Réminiscence d’un jeu qui a fait s’éveiller
L’espace de liberté qui reste à explorer
Pour mieux savoir de quoi la nature était faite
Et peut-être qui sait rectifier mes défaites
Retrouvant un chemin dans le puits de l’oubli
C’est à rêver qu’au bout plus aucune nuit ne luit
Que le temps donne raison à ceux qui savent attendre
Mais que plus rien jamais ne saurait le lui rendre
Toute cette innocence qu’il vaut mieux corriger
Tant elle est malheureuse à vouloir s’exprimer.
Etrange personnage
28 février 2011 par jobougon
Que vous arrive t-il ma chère Jocelyne . Ce matin voilà plusieurs textes de vous qui me surprennent , me font frissonner . Les expériences malheureuses sont hélas , légion .
Savoir rebondir , se dire que demain ça ira mieux , même , si on à mal , continuer à vivre , pleurer en cachette , rire devant les autres et en fin , se reconstruire jour après jour
Vous devriez vous faire éditer , ces textes sont sublime , et cela ferait une nouvelle force pour combattre tout ce qui ne va pas , en quelque sorte un exutoire . Faire des salons du livre est aussi enrichissant et on rencontre plein de gens intéressants
Un jour où l’autre, qui sait, éditer un recueil de poésie pourquoi pas ? Disons que ce qui me manque le plus en ce moment ce serait le temps à y consacrer. Alors je préfère continuer à écrire et le faire qui sait un peu plus tard. Mais je dois dire que si cela se produisait, ce serait la réalisation d’un rêve.
Bisous et amitié
C’est une quête sans fin, heureuse et malheureuse… Faite d’attentes, beaucoup et sans parfois même savoir quoi. Quand à notre réveil, tous nos rêves se sont enfuis sans laisser de traces…
Une quête qui donne un sens à la vie.
Sinon je pose à nouveau la question. « A quoi sert de vivre ? » Si ce n’est pour y mettre soi le sens qu’il nous convient d’y mettre.
le chemin est rempli d embûches. . mais la patience, parfois, débouche sur de petits bonheurs qu’il ne faut pas négliger.