Alors bien évidemment je ne vais pas taire mes observations et voici ce que je décide de répondre, mettant là ma meilleure volonté comme vous allez le constater vous-même à la lecture.
Ma fête
Décidément aujourd’hui c’est ma fête
La censure a frappé sur ma tête
Nettoyant de ma rime malhonnête
Pour éviter que je m’arrête
En si bon chemin de vous amuser
Avec ma poésie de quartier
Y allant de mes emporte-pièces
Vous transporter dans mes liesses
Telle est donc la décision du jury
De ne pas m’arrêter dans ma furie
D’écriture de vers pas trop pourris
Et de vous en bercer à l’infini.
Une berceuse, la bonne idée..
OK pour la berceuse ?
Alors je m’y emploie, genre « frère Jacques » ou encore « dodo l’enfant do ».
Bonsoir
que nenni ce ne sont pas des vers pourris , laissez dire et faire en y mettant toutefois un bémol . Les jaloux existent partout
bisous et amitié
Non, non ! Il ne s’agit pas de cela, juste de mes emportements poétiques et de leurs sonorités.
Puisqu’à priori, au contraire, l’administrateur du site n’était pas d’accord pour que je mette mon dernier poème en épilogue. Celui qui fait remarquer la disparitions des premières parutions.
Bisous Georges et merci, j’apprécie de savoir qu’ils ne sont pas pourris…