Endors-toi mon amour
Endors-toi contre moi
Demain il fera jour
Je serai encore là
Je te bercerai toujours
Là dans le creux de mes bras
Endors-toi mon amour
Endors-toi contre moi
Si demain nos vieux jours
Me séparent de toi
J’aimerais à mon tour
Te rejoindre là bas
Endors-toi mon amour
Endors-toi contre moi
Ce soir c’est notre retour
Dans la douceur de la soie
Qui a fait de nos contre-jours
Notre plus belle source de joie.
Berceuse
30 novembre 2010 par jobougon
Publié dans Berceuse, poèsie | 14 commentaires
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SUPERBE
Joli berceuse pour un tendre amour Les anciens s’aimaient plus qu’on ne le croit et quand un disparaît l’autre suit très vite pour retrouver sa moitié
Bisous amicaux
Merci pour cette belle berceuse…
Il ne reste plus qu’à composer la mélodie pour aller avec.
Je m’y réessaierai un jour ou l’autre. (à la composition de berceuse) Car je ne suis pas musicienne même si j’aurais bien aimé savoir jouer du piano.
je vais pouvoir y penser… qq notes sur mon clavier
J’espère bien entendre ça un jour.
Berceuse romance amour : un mixage heureux….Félicitations
Merci sedna cassiopée de vos petits mots dispersés comme les petits cailloux blancs.
Bisous et amitié.
S’aimer c’est bien, quelqu’endroit où l’on soit,
mais ,c’est encore mieux dans la soie !!!!!
gilles
Tant qu’à faire…
Bisous
Mieux dans la soie, (Mr Gilles), mais y en a qui préfèrent
Et les vieux garages, les vieilles motos, les outils en fer
Placards à balais, la cave aux grands crus; et rester debout
Midi à sa porte, à s’aimer tant mieux, y en a pour tous les goûts.
Tous les goûts sont dans la nature
Toutes les couleurs dans la couture
Toutes les chouettes dans l’aventure
Et tous les peintres dans la peinture
Mais bon sang ne saurait mentir
J’avoue la soie me fait frémir
Et puis la douceur du toucher
Ferait donc potentialiser
La caresse et le doux frisson
Qui monterait qui sait du son
Comme l’Ohm primordial de l’hiver
Quand il surgit endroit envers
Et contre tous ceux qui le cherchent
Moi je m’élève et je proteste
C’est sans y être invité
Qu’il voudrait peut-être débarquer
J’ai saisis l’essence de mes sens
Lorsque n’étant pas préparés
J’ai reçu cadeau de naissance
D’un maître qui pourtant me l’offrait
Alors de soie ou dans les bois
Marquis je retiendrai du doigt
La possibilité du doux
Qui chatouillerais dans mon cou
Dans les garages c’est bien trop sage
Sur une moto c’est bien trop tôt
Sur un balais ça ça me plait
Et puis debout si tu voulais
Les trésors des endroits les plus froids
Les efforts les plus drôles pourquoi pas
En attendant je satisfais
En vous lisant dans vos secrets.
Il est vrai , qu’on trouve dans les garages,
Bidons, et clefs, c’est pour autre usage
Qu’on aurait pas l’idée, quant à soi
D’orner et de tapisser de soie
Brigitte dit qu’elle n’a besoin de personne
Avec sa Harley ( bien sûr elle déconne)…
Tant que tout roule, tout est bien
Même avec du matériel ancien
Avec balai,vous préférez faire la fière
Et défier ainsi la poussière
Et debout rester ( pour votre maintien)
Avec le matériel d’entretien
Faut que partout dans la remise
Faut qu’çà brique et qu’çà luise
Et que ce rôle de choix, m’échoie
Car votre con-tentenment sera votre loi
Caresses et doux frissons
Seront votre première leçon
Sur le tableau noir avec des craies
Vous apprendrez mes secrets
Aux doigts et à l’oeil
J’abandonnerai tout orgueil
Démonstration dans le concret
Article premier de votre décret
Laissons donc de coté les bidons d’essence
Quand ils sont vides il n’y a plus décence
Devant cet état, je (vous) me ferai plaisir
Dans l’attente à ne pas vous faire souffrir.
Il faudra bien un peu les remplir
Pour ne pas vous faire languir
Et faire de nos efforts étincelles
Sans perdre aucune parcelle
La possibilité du doux amadou
Ne restera pas au clou
Carburant jaillira et puis les flammes
Brilleront dans les yeux de Madame.
Ainsi le monde ira-dira
Comme il vous plaira
D’une douce chaleur
Toute à votre bonheur…
Très cher
Voilà comment je deviens raide
De vous à travers mes balais
Sans plaisanter ça fait sorcière
Et baladeurs de jeunes sorciers
Mais vous me parlez d’amadou
De la coque il reste le brou
Nous ferons attention aux flammes
Pour ne pas qu’elles noircissent nos âmes
Regardez-moi, voyez, je souffre
Je suis sulfureuse comme un gouffre
Vous n’auriez pas un p’tit phosphore
Pour calmer l’ardeur qui dévore ?
Mon activité motarde
Me ferait monter la moutarde
Alors venez avec vos craies
Dessiner vos moutons dorés
Saint-Exupéry dans sa tombe
Aurait si bien trouvé le monde
Que son ouvrage serait la clef
D’une drôle d’histoire en son entier
Ah ! J’oubliais ! Mes vieux chiffons !
Planqués sous les pots d’cornichons
Va falloir que je dépoussière
Tout ce qui ne brille plus d’hier
En espoir d’avoir l’attention
Et le bénéfice des leçons
Recevez Marquis gratitude
Pour m’avoir donné l’habitude
De vos dix doigts et de vos yeux
Vous n’étiez plus du tout affreux
Quand con-tentant l’amour du propre
Vous m’avez jetée dans la frotte
J’ai doux gésir à vous sentir
Gonfler joyeux votre navire
Dans des voyages pas si bullaires
Que l’on voudrait pourtant y faire
Dans la chaleur de nos deux cœurs
S’accrochent encore toutes les ardeurs
Qui font flamber nos doux papiers
Dans des trésors à cartonner.
Signé Marquise
Ça vous défrise ?
Bonjour Jocelyne
Quel bel échange , du grand art
bonne et douce journée
Bisous et amitié