Sept manières de lâcher prise par GUY FINLEY
1. Enrichissez votre vision du monde et sortez de vos habitudes. Lâcher prise consiste à refuser les impératifs qui nous commandent d’être parfaits, de tout réussir, de toujours plaire aux autres, etc. Diminuez plutôt vos interdits et les conclusions qui limitent votre vie.
2. Faites confiance aux autres. Nous ne pouvons contrôler les actes ni les pensées des personnes que nous côtoyons. Ainsi, il vaut mieux accepter les autres comme ils sont plutôt que de vouloir les changer et même les « sauver ». Si vous laissez les autres être eux-mêmes, grâce à votre confiance, ils répondront davantage à vos attentes.
3. Cultivez l’ouverture et adaptez-vous au changement. Nos coyances constituent parfois la pire des prisons. Plus notre vision des choses est définie de façon stricte, moins les événements et les gens y correspondent, ce qui suscite tristesse et frustration. Si vous valorisez l’adaptation, le changement deviendra synonyme de plaisir et d’apprentissage.
4. Libérez-vous de vos émotions négatives. Certaines émotions nous empêchent d’accepter ce que nous sommes pour changer : La haine, la rancune, le ressentiment, la vengeance… Prenez conscience du fait que ces émotions vous étouffent et n’pportent rien de constructif à votre vie. Vous n’avez de pouvoir que sur vous-même. Si vous pardonnez, vous éprouverez un sentiment libérateur !
5. Adaptez vos attentes aux événements et apprenez de l’échec. Si vous entretenez des attentes trop élevées ou irréalistes envers les autres et envers la vie, vous risquez de vivre beaucoup de déceptions. Remplacez plutôt vos attentes par des tendances ou des préférences. Vous profiterez ainsi de chaque échec non pas pour pleurer, mais pour vous réjouir du nouvel apprentissage que vous aurez fait et qui vous rapprochera du succès.
6. Ne restez pas enchaîné au passé. Si vous ressassez sans cesse les souvenirs de vos échecs, de vos déceptions et de vos épreuves, il y a de fortes chances pour que votre ressentiment vous enchaîne au passé. Cette incapacité à lâcher-prise ruine votre paix intérieure. Accepter le passé est le meilleur moyen d’enrichir votre avenir.
7. Cultivez une vision positive de vous-même. Combien de fois refusons-nous de pardonner simplement par orgueil, parce-que nous disons : "Ce n’est pas à moi à faire un effort !" Cette manière de penser entretient le souvenir et la douleur de l’offense, et nous accroche au passé. Si vous cultivez une vision positive de vous-même, vous savez qu’à chaque fois que vous pardonnez, vous le faites d’abord pour vous et non pour montrer aux autres une "force" que vous n’avez à prouver à personne.

Aimer et être aimé : quand les formes active et passive du plus beau des verbes se manifestent en nous, c’est souvent dans une partie de cache-cache insensée. Incandescente à vous faire défaillir de bonheur. Et douloureuse jusqu’à l’anéantissement. Mais qu’est-ce qui se joue derrière les tourments de l’aimant ? Quelle est la nature véritable de cette entité autour de laquelle tourne le monde et qu’on appelle amour ? Guy Finley se pose ces questions à lui-même. Avec une grande confiance, lui dont nous apprécions les manuels de savoir vivre – et de savoir lâcher prise -, nous livre ici les lettres qu’il envoie à une amante, à la fois présente et inaccessible. Au fil de la quête et de l’errance, apparaissent à l’assoiffé des vérités aussi anciennes que le monde : l’amour existe en soi, il n’est jamais absent, bien que nous ne percevions que rarement sa présence nourricière ; ce n’est pas nous qui aimons, c’est l’amour qui nous choisit ; l’important est de comprendre ce que notre cœur désire et de nous en approcher au plus près ; essentiel est de distinguer dans l’élan vers l’autre ce qui, en fait, est amour de soi-même ; enfin et surtout cette évidence, si aveuglante que nous avons tendance à nous en écarter : pour recevoir de l’amour, il faut en donner !
Selon Guy Finley, chaque être humain détient en lui la capacité de grandir, de s’améliorer, d’éprouver toujours plus d’amour et de devenir plus sage. Ses livres racontent que ce sont les relations que nous avons avec les autres qui nous donnent l’opportunité de découvrir les « lieux » intérieurs où nous avons nous-mêmes tracé et accepté nos limites, lieux qu’il ne tient qu’à nous de dépasser.
Texte très instructif;
je ne sais pas » lâcher prise »;
je suis un anxieux ,un inquiet permanent « en crise »;
(un loser);
et pour couronner le tout,
je n’ai pas confiance en moi.
Irrécupérable ! y a-t-il un espoir de pouvoir changer
ou suis-je condamné « docteur » à gésir indéfiniment.
J’aime et suis aimé (du moins je le crois)
mais ,pas heureux car (presque) jamais…je ne la vois !
L’Amour ,depuis la nuit des temps
fût,hélas, toujours un « charlatan »
Il y a toujours un espoir…
Mais l’amour en effet ne fera jamais tout.
L’Amour dans son sens le plus large par contre, lui peut tout. Car c’est celui qui est en nous qui nous fait vivre.
Les failles des êtres humains sont parfois leurs plus belles qualités…